Le blog de Lucie
Gérard récupéra Lucie et Olivia le lendemain et les conduisit sur sa propriété de Stolberg, une grande maison dans un parc au milieu d’une forêt, lieu parfait pour filmer un Snuff ou un porno sans se faire déranger par les voisins.
En réalité, Gérard est un type charmant qui aime à voyager quand il le peut et à passer ses week-ends dans sa propriété forestière.
A leur arrivée ils furent accueillis par deux superbes filles à moitié nues qui se tenaient par la
main.
- Putain ! C’est une annexe du bordel ici ou quoi ? s’exclama Lucie.
- En quelque sorte ! lui répondit le propriétaire des lieux. Les filles qui travaillent pour moi ont parfois des moments de blues, ou juste le besoin de décompresser, alors elles viennent régulièrement passer du temps ici, seules ou à plusieurs. Ici je ne leur demande rien, elles ne sont ni des boniches, ni des esclaves sexuelles à la merci d’anciens nazis ! Elles sont justes en vacances.
- Vous vous préoccupez de leur confort ?
- Oui, c’est juste. Je sais parfaitement que la prostitution n’est pas un métier facile, alors je les soigne comme il faut !
Quand ils sortirent de la voiture, les deux filles sautèrent au cou du propriétaire des lieux en piaillant en allemand.
Gérard leur répondit en souriant et les filles vinrent vers Lucie et Olivia et se présentèrent en Anglais.
- Hi ! I’m Olga, I’m Russian, nice to meet you !
- Hi ! I’m Margreet,, deuch, and I’d like to fuck you ! dit-elle en se marrant à pleines dents.
- We would be glad to fuck you too ! Repondit Olivia que rien n’ébranlait.
- Girls, would you keep trying to stay serious for a while ?
Gérard, un peu de rouge aux joues, les sermonnait mais les deux filles continuaient à se marrer.
- En réalité c’est la maison de campagne d’Hugh Hefner ici ! Il n’y en a pas d’autres ?
- Non, il n’y a qu’Olga et Margreet. Promis !
- Oh, ça ne nous dérange pas !
- Je vois !
Les bagages dans les chambres, Lucie et Olivia faisaient la tournée du propriétaire, guidées par un Gérard aux petits soins. Les filles étaient allongées sur des transats au bord d’une jolie piscine en forme de haricot, à l’arrière de la maison. Gérard leur montra le parc, avec son gazon fraîchement tondu et parfaitement entretenu, ses fleurs et la forêt tout autour. Il leur raconta que la maison avait appartenu à un haut dignitaire du parti Nazi dans les années d’avant la guerre, qu’elle avait ensuite été un quartier général de l’armée quand les alliées bombardaient Berlin, et qu’elle avait ensuite été occupée par les troupes soviétiques pendant l’occupation du pays. Il l’avait rachetée à la fin des années 80 dans un sale état et l’avait entièrement restaurée. La maison était comme un immense chalet de vingt chambres, comme un hôtel de montagne sans la montagne.
Lucie siffla entre ses dents « c’est fou les possibilités qu’offre cette baraque ! »
- Tu ne penses qu’aux orgies du manoir de ton oncle ! Mais si tu veux on peut y organiser ton prochain anniversaire ! 32 ans, 32 bites !
- Ne sois pas vulgaire ! Je te demande si tu vas te taper Gérard dès ce soir ?
- Tu crois vraiment que je vais attendre ce soir ? là j’ai la chatte en feu si tu veux tout savoir. Tu veux participer ?
- Non, merci. Pas aujourd’hui.
Olivia s’éloigna bras dessus, bras dessous avec le bel allemand et lui susurrant des cochonneries à l’oreille.
Lucie resta seule et décida, par cette chaleur étouffante d’aller se baigner avec les filles.
Dans sa chambre elle s’aperçut qu’elle n’avait pas de maillot de bain, mais après tout, tant qu’à être chez un mac avec deux putes au bord de l’eau, autant assumer sa nudité ! Lucie descendit donc entièrement nue, une serviette trouvée dans la salle de bain autour du cou.
Olga et Margreet bronzaient tranquillement en se tenant par la main, Lucie les aborda dans un anglais hésitant.
- Hi girls, can I lay down, here with you ?
- Of course you can sweety ! come on !
- Thanx !
- Y’ou’re welcome ! Are you some kind of a new girl for the blue lights ?
- Oh no ! Hell no ! just a friend of a friend !
- That’s the way we started !
Les deux filles rièrent aux éclats, pensant que Lucie et son amie étaient en quelque sorte de nouvelles recrues pour le lupanard. Margreet tenta une approche directe en plaquant une main sur le sein gauche de Lucie.
- Do you like girls ?
- You mean, am I bisexual? Right?
Olga rougit, se marra un grand coup et glissa dans l’eau tiède.
- Yes, that’s what I meant! Have you ever been kissed by another girl?
- Wanna fuck around by the pool?
C’est ainsi que se termina l’après midi au bord de l’eau. Lucie était plongée dans une partie triangulaire au bord de l’eau tandis qu’Olivia faisait des vocalises que n’arrêtaient pas les fenêtres de sa chambre.
Lucie nota mentalement qu’olga avait des lèvres épaisses et un jolie grain de beauté sur son mont de vénus totalement épilé, tandis que Margreet l’allemande, avait réservée un petit triangle de poiles taillés en cœur. Elle se dit, tout en léchant Margreet, qu’elle était tout autant physionomiste des chattes que des visages et cette pensée faillit la faire éclater de rire pendant qu’Olga lui glissait quelques doigts dans le vagin tout en lui léchant la porte du jardin.
Margreet râlait en se masturbant rapidement, elle semblait même parfois au bord des larmes, mais Lucie se dit que ce devait être sa façon de jouir tandis qu’Olga semblait dires des mots cochons en russe. Il faisait chaud, littéralement. Lucie sentait la sueur mêlée à la salive d’Olga et à son jus intime dégouliner entre ses fesses. Sensation agréable, car elle aimait, elle aussi, se plonger le nez dans de tels mélanges, comme un nectar divin.
Olivia continuer de beugler à travers les carreaux, signe que Gérard, soit en avait une énorme, soit savait particulièrement bien s’en servir, soit les deux tout à la fois. Lucie se jura d’en profiter le moment venu. Peut être au cour d’une partie à cinq, rien n’était exclu !
Finalement
tout le monde jouit en même temps. Olivia et gérard, là haut, dans la chambre, mais aussi Margreet sous les coups de langues de Lucie et cette
dernière sous les doigts experts d’Olga. Quelques minutes plus tard, tout le monde se retrouva dans l’eau en riant et jouant. Lucie put constater que Gérard était du genre bien monté, il en avait
même encore une demie molle toute épilée, délicieuse.