- Tu as faim ?
- Je boufferais un lion !
- Super ! Attends…
Rodrigue se leva et alla chercher le sac qu’il avait rempli chez le petit épicier du haut du boulevard.
Il a avait une poignée de cerises, des bananes, de la mousse au chocolat, et une bombe de chantilly.
- Putain ! tu avais dans l’idée de jouer avec la bouffe ?
- Tu n’aimes pas ? si tu veux on peux juste manger tranquillement, mais ça serait dommage ! et ne me dit pas que tu ne l’as jamais fait, hein !
Lucie pouffa de rire, surprise par l’inventivité du jeune homme.
- je dois t’avouer que ça faisait longtemps que je n’avais pas jouée avec de la chantilly ! Mais ça m’amuse beaucoup ! dit elle d’un œil gourmand.
- Tu veux commencer avec quoi ?
- Chocolat.
Rodrigue prit le pot de crème, une grosse boite de Danette familiale, et en enduisit doucement les seins de Lucie.
La crème était froide, les tétons se durcirent à son contact.
Il prit les seins un par un et les lécha consciencieusement. Lucie trouvait ça formidable. A son tour, elle s’occupa des tétons de Rodrigue. Puis, elle descendit un peu plus bas et en répandit sur sa queue maintenant molle. Elle adorait sentir une queue au repos dans sa bouche, elle trouvait que c’était vachement plus doux qu’un sexe en érection. Elle pouvait le sentir palpiter, se gonfler de sang et durcir lentement. Comme un animal vivant. L’érection ne prit que quelques minutes, Lucie avait du chocolat autour des lèvres, Rodrigue trouvait cela terriblement sexy.
Il allongea Lucie sur le ventre et lui souleva les fesses. Lucie avait maintenant le cul bien tendu, les fesses bien écartées, Rodrigue ne pouvait rien manquer de son petit trou.
Il enduisit le sillon, du haut des fesses jusqu’à la base du vagin, de chocolat et se mit à lécher de bas en haut. Ce faisant, il glissa un doigt dans le cul de Lucie, puis deux. Il lui malaxa l’entrée, la pétrit, et lui glissa une cerise à l’intérieur sans que Lucie ne proteste. Lentement elle l’expulsa et Rodrigue la cueillit directement dans la bouche.
Il recommencèrent l’opération plusieurs fois cependant que Lucie, discrètement, se touchait le clitoris. C’était un fait, elle était de nouveau trempée. A son tour, elle demanda à Rodrigue de se mettre dans la même position, les jambes légèrement écartées.
Elle l’enduisit à l’identique, du haut des fesses jusqu’à la base des couilles. Pas spécialement scatophage, elle se dispensa de lui fourrer le cul de cerises, mais lui dispensa bien volontiers un massage anal en le branlant par devant.
Lécher un cul, Lucie savait faire, mieux, elle adorait. Elle s’appliqua donc plusieurs minutes alternant l’analingus et le léchage des bourses à priori encore pleines. Elle le sentit gémir à nouveau.
Il y avait du chocolat plein les draps, de la salive et des taches de cyprines. Cela n’avait plus beaucoup d’importance.
Rodrigue retourna Lucie et le chevaucha dans la position du 69. Lucie continua de lécher son cul tandis qu’il écartait ses jambes pour faire glisser une banane pelée dans son minou. L’exercice était délicat, il ne voulait pas la casser à l’intérieur. Lucie était suffisamment lubrifiée pour que le fruit la pénètre. Rodrigue joua quelques instants avec avant de la retirer et en proposa une bouchée à Lucie qui accepta volontiers. Toutes les bananes y passèrent, tantôt nature, tantôt trempées dans le reste de chocolat.
Finalement Lucie reprit la position de la levrette, Rodrigue enfonça le diffuseur de la bouteille de chantilly dans le petit trou et poussa sur l’opercule qui libéra une bonne quantité de crème dans les fesses. Il en mit également une dose sur sa queue que Lucie dévora rapidement, puis il la sodomisa lentement.
Son sexe tout entier disparu dans l’antre chaud et crémeux, Lucie gémissait de plaisir, sans retenue, la tête en arrière et les yeux révulsés.
Elle sentait son sexe chaud dans son cul ouvert, elle jouait avec le muscle de son sphincter, serrait puis relâchait. Il ne tarda pas à jouir à l’intérieur, dans un spasme libérateur, une brève décharge bouillante, un jet de sperme épais.
Lucie décula, et s’écroula à plat ventre.
Rodrigue s’affaissa près d’elle, la tête engourdie de milles étoiles.
Il faisait chaud, ils étaient trempés de sueurs. Près d’elle, Rodrigue avait de la chantilly tout autour du sexe et sur une partie de son ventre. Lucie sentait ses fesses poisseuses, elle se sentait enduite de crème, c’était presque gênant.
- Tu fais ça avec toutes tes maîtresses ?
- Pas toutes, certaines n’aiment pas, mais souvent.
- C’était très bon, tu m’as faites grimper aux rideaux !
- Je suis content que ça t’ai plut. On recommence quand tu veux !
- Allons prendre une douche !
Ils se levèrent ensemble et se dirigèrent vers la salle de bain. Lucie sentit ce qu’elle détestait, le sperme lui sortait du cul et coulait le long de la jambe. Un mélange liquide de chantilly, de sperme et de merde. Rien de joyeux « après », mais terriblement excitant « pendant ». Elle dut dévisser la pomme de douche et s’enfiler le tuyau délicatement entre les fesses pour y laisser couler un peu d’eau tiède. Elle se dit que finalement le lavement elle aurait du le faire avant, Rodrigue ne fit pas mine de regarder, Lucie l’en remercia silencieusement.
Ils quittèrent la chambre vers une heure du matin. Propres et recoiffés. Le type à l’accueil, qui ne se doutait pas de ce qui l’attendait sur le lit, leur sourit poliment tandis qu’ils rendaient la clé. Lucie se jura de ne jamais y retourner.
Lucie appela finalement un taxi sur le parvis de la gare et rentra sagement en repensant à tout ce que l’on pouvait faire avec la nourriture. Elle se rappela
aussi du « on ne joue pas avec la nourriture » de sa mère, et se promit de jouer avec tout ce qu’elle pourrait.
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