Jeudi 16 avril 4 16 /04 /Avr 07:38

Quand Julien s’aperçut de la présence de la tante de Lucie, il vit qu’elle souriait, les bras croisés. Bien évidemment il ne la connaissait pas, mais son assurance et sa décontraction lui laissèrent comprendre qu’elle n’était pas la bonne.  Elle était vêtue d’un chemisier blanc classique, avec un foulard noir autour du coup, une jupe de couleur crème sur de longues jambes fines et sportives, chaussées de talons aiguilles. La tante  Chloé semblait très jeune, Julien ne lui donnait pas plus de vingt-cinq ans. Elle avait l’air féroce avec sa frange et ses lunettes en écailles, mais il y avait dans son look de dominatrice et de maîtresse femme un coté hyper sexuel qui lui donnait envie de la bourrer sauvagement ou alors de lui demander de le fesser au sang.

-      -    Bonjour, je peux vous aider ?

-      -     Vous êtes la tante de Lucie ?

-      -      C’est exact ! je suis sa tante, en effet, et vous êtes donc son ami Julien je présume ?

-      -      C’est bien moi.

-      -      Vous êtes quasiment nu dans ma bibliothèque, vous savez ?

-      -      Oui, hé bien j’ai ce costume à essayer, je n’avais pas d’autre endroit…

-            Et vous ne portez pas de caleçon ? Vous êtes bien cavalier !

-            Jamais, madame. Je suis peut-être de naissance modeste, mais je sais me tenir, j’aime me sentir libre dans mes pantalons, et puis c’est une certaine forme d’honnêteté. J’affiche sans honte ma propriété !

-            Je ne vous en blâme pas et vous avez parfaitement raison, j’approuve votre « honnêteté ». Je vois aussi que vous n’avez aucune sorte de pudeur !

Julien, en effet ne cachait rien de son anatomie.

-        -    Pourquoi en aurais-je, ce que la nature m’a donné, n’est pas un objet de honte, c’est au contraire toute ma fierté.

-       -     J’aimerais y goûter, si vous n’y voyez pas d’inconvénients.

-       -     C’est que, madame, on vient de me pomper, pas plus tard qu’à l’instant, je ne sais pas si je pourrais être à la hauteur de vos attentes !

-            Ne soyez pas gêné et laissez moi en juger. Je connais mille façons de rendre vie au plus ensommeillé des vits.

-      -  Plus le temps s’écoule et plus nous nous mettons à parler à la manière qu’il convenait au dix-huitième siècle, vous ne trouvez  pas ?

-       -     Certes, mais si tu veux gamin, on peux causer plus simplement, viens ici, approche toi, mais je te préviens, si tu n’arrives pas à bander, tu devras me bouffer la chatte.

Chloé se jeta sur le bout de viande qui pendait lamentablement et se mit à la tâche. Elle pompa sans relâche, et ma foi, Julien retrouva une belle érection.

Quand elle fut satisfaisante, Chloé se releva, se retourna en s’appuyant contre le mur, le dos cambré, releva sa jupe et dit, « Maintenant, tu m’encules ! » Julien ne se fit pas prier, arracha sa culotte d’un geste brusque et lui écarta les fesses, se pencha pour cracher sur la rondelle, et lui glissa deux doigts dans le trou encore serré. C’était chaud et doux comme dans du velours. La salope  se trémoussait d’aise tandis qu’il la besognait de l’index et du majeur. Enfin, n’y tenant plus, il l’embrocha d’un coup, tandis que la belle poussa un « han ! » des plus convaincants. Une main sur la hanche, l’autre serrant un sein généreux, il besogna tant et si bien qu’il senti à nouveau la sève monter.

-     -Merde, je viens !
 -    Rhaa, moi aussi, encore une minute !

La tante et le copain, tous les deux en sueur, rouges comme des tomates haletaient maintenant sans retenue.

-        - Remplis moi le cul ! Remplis moi le cul !

-        - Haa, ça y est, putain, je jouis !!!





Il  serra le sein plus fort, griffa la hanche tandis qu’elle hurla de plaisir quand un jet brûlant lui inonda le fondement. Julien se retira enfin et recula exténué. La tante Chloé resta dans la même position, la rondelle bien ouverte tandis que le sperme coulait le long de sa jambe droite. Julien semblait voir le sphincter palpiter, animé de soubresauts cependant que la dame se finissait à la main.

-         -   Rhaaa putain, c’était bon ! Moi c’est Chloé, et toi ?

-            Moi c’est julien, l’ami de Lucie.

-            Et bien, bienvenu chez nous, mon petit Julien !

-            Merci madame !

-            Chloé, appelle-moi Chloé, ou comme tu veux, mais pas madame, d’accord ?

-            Ok.

-            Bien. Où son Lucie et les autres ?
-Dans la chambre de Lucie, en fait ça les a tellement excitées de me sucer tout à l’heure qu’elles sont montées se bouffer les chattes là haut.

-       - Super, je vais donc faire leur connaissance de ce pas.

-      -  Vous voulez que je vous accompagne ?

-       - Pas la peine, maintenant j’ai envie d’une bonne baise entre filles. Mais si tu veux tu peux aller rencontrer mon mari, je pense qu’il trouverait ton cul à son goût.

-            Je n’ai jamais essayé avec un mec.

-            Tu n’as rien contre j’espère ?

-            Je n’ai encore pas d’avis sur la question en fait !

-            Alors il va falloir essayer.

Julien la regarda s’éloigner, pensif. Il remarqua qu’elle n’avait pas prit soin d’essuyer le sperme qui coulait maintenant sur sa cheville et porta à son nez la petite culotte qu’il n’avait pas jeté.

Il s’habilla enfin pour tester la culotte grand siècle et sorti de la pièce pour aller jeter un œil au reste de la maison. Il la trouva immense, meublée avec un certain goût pour l’alternance de l’ancien et du contemporain, des pièces richement meublées avec un thème différent pour chacune. Il se dit que la fête serait énorme, et comprenait l’intérêt des soirées libertines déguisées. Il aurait aimé vivre cette période de l’histoire où le cul avait sa place sans avoir à se cacher, où les gentilshommes et les biens nés pouvaient trousser par distraction comme on allait en « boite » de nos jours. Il s’en dégageait un parfum de paradis, même si l’époque fantasmée avait aussi été la pire en terme d’hygiène corporelle. Par ses lectures, Julien savait qu’en ses temps là on puait facilement de la gueule et du con, que l’on déféquait en société et que les femmes se soulageaient sans même prendre la peine de se baisser ou de s’isoler. Certains payaient même pour voir le roi chier. Julien était très à cheval sur l’hygiène, il se dit que ça l’aurait gêné.

En attendant, comme un point final à leur rencontre de la journée, elle lui avait conseillé d’aller se faire enculer, cette femme était charmante.



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Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : Histoire érotique
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