Vendredi 17 avril 5 17 /04 /Avr 08:26

Lucie était déjà allongée sur son lit avec Marie et Olivia. Elles étaient nues, n’avaient absolument rien gardé. De son secrétaire, près du lit, elle avait retiré une belle boite contenant divers sex-toys. Il y avait un collier en perles véritables, un butt-plug, plusieurs vibromasseurs de tailles et de coloris différents, ainsi que des plumes et une fiole de poppers.


Les filles se caressaient langoureusement dans un triangle de chairs improvisé.  Lucie promenait ses doigts sur les tétons d’Olivia tandis que Marie caressait les cuisses de Lucie. Olivia, elle, embrassait le cul de Marie tandis que sa main gauche soutenait un de ses seins qui pendaient dans le vide comme deux globes pleins, deux douces poires alléchantes et tièdes.



Lucie pensait que ces moments entre filles étaient vraiment géniaux tant elle prenaient du plaisir dans ces longues caresses qui leurs mettaient le feux partout.


Les filles savaient, mieux que les garçons, trouver les moindres recoins de plaisir. Une main sur le ventre, une autre sur le cou, le lobe de l’oreille, le nombril, le dos, le creux du genou et les pieds. En fait, tout le corps de la femme est une zone érogène, il suffisait simplement  de le stimuler correctement, et seules les femmes en avait le secret.



Pour la plupart des mecs, les zones érogènes féminines se limitaient au sexe, à l’anus et aux seins, point barre. Pourtant, même un baiser pouvait lever des sensations formidables. Les filles entre-elles s’attachaient donc à stimuler par les caresses tout ce qui pouvait l’être.

Marie adorait qu’on lui embrasse l’oreille, qu’on y promène la langue. Ça lui procurait des décharges dans tout le corps. Olivia adorait qu’on lui caresse le dos en lui mettant un doigt dans le cul, juste un, lentement. Lucie, quant à elle, devenait folle quand on lui léchait le périnée, cet espace entre la vulve et l’anus.  Elle adorait également qu’on lui caresse les aisselles.  C’est comme ça que les trouva Chloé quand elle ouvrit la porte tout doucement. Marie et Olivia ne l’entendirent pas rentrer tandis que Lucie lui demanda tout naturellement de les rejoindre.

Marie se retourna brusquement, surprise, et Olivia étouffa un petit cri en tentant de se recouvrir avec un maigre bout de couette.

-           C’est rien, c’est ma tante Chloé ! pas la peine de te cacher Olivia.

-           Bonjour, je me suis dit que c’était le bon moment pour faire connaissance, je ne vous dérange pas au moins ?

-           Pas du tout répondit Lucie, en fait nous en étions aux préliminaires, tu tombes bien !

Marie se retourna vers Lucie interdite.

-           Tu couches aussi avec ta tante ?

-           Bah oui, qu’est ce que tu crois, c’est elle qui m’a appris tout ce que je sais.

Chloé se déshabillait tranquillement. Olivia nota qu’elle ne portait pas de culotte et Lucie vit la coulée de sperme sur son bas.

-           Tu as de la gelée sur la jambe, c’est normal ?

-           C’est votre ami en bas qui en est responsable, il m’a gentiment enculée dans la bibliothèque, un garçon charmant !

-           Sur un bas ça n’est pas terrible !

-           Peut-être, mais dans le cul c’était divin !

-           Merde, on n’avait pas tout pompé alors ?

-           Il faut croire que non.

-           Bien les filles, je suis à vous !

-           Tu pourrais enfiler un god-ceinture, tantine ?

-           Hmm, pourquoi pas, tu veux que j’aille chercher mon attirail ?

-           Pas la peine, j’ai celui que tu m’avais offert l’été dernier.

Chloé était nue à présent. Elle était du genre old-school avec son duvet taillé en triangle. Les filles, elles, étaient entièrement épilées.

La tante enfila le god-ceinture, un solide penis noir de taille honorable qui lui allait parfaitement. Il était suffisamment rigide pour glisser dans n’importe quel trou, et suffisamment souple pour éviter les accidents. Lucie prit une crème antiseptique et l’enduisit comme on branle une vraie queue.

-           Voilà, avec ça on ne risque rien, pas d’irritations, pas de champignons !

Les filles étaient à présent toute excitées devant la fière Chloé et son membre dressé. Le poppers libéré sur une petite coupelle eu un effet immédiat. Marie sentait son sexe la démanger furieusement, Olivia se mit à quatre pattes et écarta les fesses en couinant un petit « défonces-moi » tandis que Lucie se précipita pour lui lécher l’anus détendu. C’est Marie qui guida le membre noir et luisant vers l’orifice tandis que Lucie s’allongea de manière à ce qu’Olivia lui bouffe la chatte tout en se faisant défoncer.

Lucie se branlait frénétiquement et sentait les coups de boutoir involontaires de son amie contre son mont de vénus. Chloé besognait son cul consciencieusement et en cadence tandis Que Marie lui dévorait les seins. Le matelas bougeait comme un bateau dans une tempête, et les cerveaux déboussolés ne savaient plus où était la terre, où était le ciel.  Enivrée par le poppers, Marie tomba du lit et resta sur le dos, par terre. Elle saisit un god vibrant lumineux et se pénétra le vagin sans avoir à lubrifier ce qui était déjà bien inondé. Lucie eu un orgasme saisissant, comme un long frisson violent qui la traversa des pieds à la tête. Elle arracha la tête de son amie de sa vulve, Olivia avait la bouche trempée, dégoulinante de cyprine et de salive, elle semblait en transe, les yeux ailleurs. Chloé transpirait fort, le geste de va et vient du bassin laissait apparaître par l’effort sa musculature impressionnante, elle avait une magnifique « plaque de chocolat » et les tétons fièrement dressés et les auréoles gonflées par l’excitation.

Par terre, Marie se branlait le cul. Elle avait introduit presque une main sans le pouce dans l’orifice béant, tandis que l’autre main faisait des mouvements rapides et désordonnés avec le god qui vibrait avec un son aussi caractéristique que ridicule de rasoir électrique.

Lucie bascula près de Marie et entreprit de lui lécher le clitoris. Elle adorait s’en occuper car Marie avait la particularité d’avoir un bouton qui enflait incroyablement sous l’excitation. Julien le comparait à un petit cornichon, Lucie trouvait ça très con.

Olivia et Marie poussaient des HAAAAAAAA !!!!! Chloé scandait des HAN !! À chaque poussée, Lucie ne disait rien, et se concentrait sur les mouvements de sa langue. Elle sentit les mains de Marie lui saisir les hanches et la rabattre violemment vers elle, Lucie enfourcha donc Marie et passa une jambe par-dessus sa tête. Marie se rua, langue dardée, vers ce qu’elle appelait la « porte du jardin », que Julien appelait « l’entrée de service ». Un pur délice. Elle ne se contentait pas de lécher les bords, elle donnait  des petits mouvements de pénétration qui n’allaient pas bien loin, mais qui lui procuraient des sensations extrêmes.

Après un ultime assaut, Olivia plongea vers le lit, le cul béant,  tandis que Chloé déconait dans un drôle de bruit de succion, fatiguée par l’effort, en nage. A ce moment là Marie fut secouée de spasmes violents et cria en se recroquevillant, emportée par une vague de jouissance pure.

Lucie se leva la première et ouvrit la fenêtre pour dissiper les dernières vapeurs de Poppers. Quand elle revint près des filles elle constata que Marie et Olivia semblaient KO, allongées comme prostrées, tandis que Chloé restait sur ses genoux, hagard.

Bon, maintenant que les présentations sont faites, on n’a plus qu’à essayer nos robes, nous aussi !


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Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : écriture libertine
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