Lundi 20 avril 1 20 /04 /Avr 08:48

La soirée d’anniversaire et de nouvel an avait été parfaite. Lucie était enfin majeur.

Si l’oncle et la tante à peine plus âgés l’avaient initiée à la culture, aux plaisirs et à l’hédonisme en général, son âge, au moment de son initiation, l’avait privée des joies des grandes soirées et des rencontres libres dans les clubs qu’ils fréquentaient.


La soirée était destinée à combler ce manque.

Les invités étaient arrivés relativement tôt, vers dix-neuf heures. Il y avait du champagne, des alcools un peu plus forts, et des montagnes de nourriture. Tous les convives sans exception étaient perruqués, poudrés, et habillés comme des princes de condé ou des Marie-Antoinette.  Marie, Olivia et Julien avaient les yeux grands ouverts comme ébahis devant une reconstitution historique parfaite. Il y avait une centaine de convives, une faible majorité de femmes. Le début de soirée, donc, restait relativement soft. Il y avait bien quelques filles pour pomper un mec ou quelques mecs pour sucer une fille, mais ça dansait beaucoup, ça papotait dans les coins, ça riait aux éclats. Quelques types plus malins avaient apportés un peu de coke et traçaient quelques lignes.

Lucie était captivée par la vue d’une Pompadour accroupie, les jambes bien écartées, la vulve à l’air, qui avalait un sexe énorme, tout doucement, langoureusement, tout en se masturbant d’une main gantée. Le type ne semblait même pas faire attention à elle, occupé à parler de tout et de rien, avec un quadra débonnaire. La fille semblait jolie, hyper fardée, hyper poudrée. Elle avait une mouche sur la joue, une fantaisie à la mode en ce temps là, tracée au crayon. Lucie eu presque envie d’aller lui fourrer un doigt dans le cul pour qu’elle accélère le mouvement, mais resta à la regarder de manière hypnotique.

Julien s’approcha d’elle.

-           Putain, je me ferais bien sucer aussi, là tout de suite !

-           Ce n’est pas les bouches qui manquent mon pauvre !

-           Toi, tu ne me sucerais pas ? là dehors ?

-           N’importe quoi ! c’est une soirée libertine Julien, le principe c’est que si on a envie de baiser on le fait sans honte, à la vue de tout le monde.

-           Si tu commences à avoir de la pudeur, autant sortir et changer de fête !

-           Arrête, c’est juste que je ne me sois encore jamais fait sucer par quelqu’un que je ne connaissais pas.

-           Tu veux que je demande à la première fille qui passe ?

-           Tien, oui, ça pourrait être drôle !

Lucie tourna la tête de chaque coté, et aperçu une fille qui venait dans leur direction. La fille était superbe, genre bourgeoise, blonde, peu de poitrine, mais un charme d’enfer.

-           Elle te ferait bander celle-là ?

-           Ha ouais, carrément !

Lucie se tourna vers elle et l’interpella.

-           Hé, salut, mon copain aimerait se faire sucer par vous mais il est un peu timide.

-           Bonsoir, moi c’est Isabelle, je viens de sucer deux types dans la bibliothèque, j’ai un peu mal à la mâchoire, mais attendez…

La femme se tourna et appela une amie à elle.

-           Joy, tu pourrais sucer le jeune homme ?

-           Pas de problème !

Joy semblait un peu moins jolie, mais toute aussi prête à rendre service. Sans attendre, elle se mit à genoux et pompa Julien après l’avoir déboutonné avec expérience.

Lucie poursuivit donc la conversation avec Julien, pendant que celui-ci se pâmait  dans la bouche de la blonde.

A minuit, après que tout le monde se soit déshabillé pendant le décompte, l’oncle Henry prit le micro des mains du DJ et appela l’attention du public.

-           S’il vous plait ! S’il vous plait, un petit instant s’il vous plait. Ce soir est une date importante à plusieurs points de vue. En effet nous venons de fêter la nouvelle année, mais comme certains le savent aussi, c’est l’anniversaire de ma nièce Lucie !

Il y eu des cris de joie, des applaudissements et des encouragement cependant que Lucie approchait de son oncle un peu confuse. Chloé se tenait à ses coté, toute heureuse, les seins à l’air.

-           Bien, comme ma chère Lucie est aujourd’hui majeure, que nous l’avons élevée selon les préceptes du divin Marquis, je tenais à lui souhaiter son anniversaire de manière originale.

Il y eu des HOOOO !!!! dans l’assistance.

-           Ma chère Lucie, voici ton cadeau !

Sous les applaudissements arrivèrent dix-huit jeunes hommes superbes, baraqués comme des gogo-danseurs, et membrés comme des ânes portant un magnifique fauteuil or et rouge.

Henry accompagna sa nièce rougissante sur le fauteuil et lui dit « Ma chérie, ces dix-huit garçon sont à toi, jusqu’à ce que tu les fassent tous jouir ! »


Lucie, rouge de plaisir joignit ses mains comme pour une prière et mit un instant avant de choisir lequel aurait le premier les honneur de sa bouche.

Finalement elle leur fit signe de se mettre en cercle et elle s’assit sur son fauteuil, bien confortablement en les suçant un par un. Quant elle en eu mal à la mâchoire, elle s’assit plus profondément et posa ses jambes sur les accoudoirs, ils la pénétrèrent à tour de rôle. Enfin, elle se mit à genoux sur le fauteuil, tendit son cul et les invita à l’enculer à tour de rôle. L’aventure dura deux heures.

Deux heures à prendre du plaisir avec dix-huit types gaulés comme des statues grecques, endurants comme des coureurs de marathon. Finalement et de manière relativement homogène, ils finirent tous par éjaculer sur son corps, son visage, dans sa bouche ou sur ses cheveux.

Deux heures pendant lesquelles Lucie ne prêta pas attention à ce qui se passait autour d’elle.



Quand elle émergea enfin, elle s’aperçut que la salle était une véritable mer de chair humaine, une gigantesque partouze où les corps se mélangeaient autour d’elle.  Il y avait une armée de queue, des bataillons de croupes levées, des flots de sperme qui coulaient, des trios femme-femme-homme, des couples homme-homme ou femme-femme. Devant son fauteuil elle reconnu Chloé qui embrochait l’oncle Henry qui embrochait lui-même un autre type dans une version toute personnelle du petit train.

Il y avait des perruques sans têtes, des têtes sans perruques, de la poudre et du maquillage partout.  Non loin, elle discerna Marie qui se branlait avec le goulot d’une bouteille de champagne en léchant un cul inconnu.

 

Ce fut une fête magnifique, une orgie formidable. Lucie se rappelait avec émotion de ses dix-huit ans.


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Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : les jeunes exhibes
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