Lucie, pour ses dix-huit ans, s’est vu offrir un cadeau pour le moins inhabituel de la part de son oncle Henry et de sa tante Chloé.
Ils avaient organisés une somptueuse fête dans le manoir familial, une vieille propriété de vingt hectares, à la sortie de la ville, en direction de Laval. C’était une vielle demeure de charme, une grande maison bourgeoise du dix-neuvième siècle entre Trianon et Moulinsart, un endroit aux multiples chambres avec un salon immense suivi d’une bibliothèque et d’un boudoir d’un coté, et d’une vieille sellerie et un bureau de l’autre.
Henry avait prévu une fête magnifique pour le passage de la nouvelle année. Il avait invité tout ce que la région pouvait compter de libertins pour une nuit chaude accompagnée par une sono professionnelle et un sosie parfait de David Ghetto. Il y avait un thème bien sur à cette soirée, c’était celui du siècle libertin, pour ne pas changer. D’ailleurs quand Henry organisait une fête, c’était souvent une occasion de revêtir les habits colorés du dix-huitième siècle et de se poudrer la tête. Lucie aimait beaucoup ce genre de fête. IL avait fallu deux jours pour tout organiser, tout installer. La sono, les feux d’artifice, les traiteurs et leurs camions de victuailles.
Lucie avait obtenue l’autorisation d’inviter quelques amis triés sur le volet. La tante Chloé avait longuement questionnée sa nièce pour connaître les motivations de ses jeunes invités, s’assurant qu’ils étaient majeurs, dépucelés, et sympathisants à la cause. Lucie avait su la rassurer sur tous les points, lui confirmant que Marie, Julien et Olivia n’en étaient pas à leurs premières partouzes. D’ailleurs si elle voulait, il suffisait de les appeler pour les rencontrer et ôter tout doute. Chloé l’assura que c’était bon, qu’elle lui faisait confiance.
La veille, Lucie appela ses amis et les invita à passer à la propriété. Ils suivaient tous les quatre le même cursus scolaire, et fréquentaient les mêmes cours. Souvent ensemble, comme un groupe soudé, ils aimaient passer des soirées a ne rien faire d’autre que baiser dans l’appartement loué par les parents de Marie et qu’ils partageaient en colocation.
Baiser n’était pas systématique, mais il ne se passait pas une soirée sans qu’il y en ai au moins deux couchés dans le salon dans des positions aussi drôles que souvent inconfortables. Ils avaient leurs habitudes.
Lucie aimait sucer Julien tandis que Marie et Olivia appréciaient un 69. Julien aimait glisser sa queue dans le cul d’Olivia tandis que Marie lui léchait les
couilles.
Si Marie et Olivia appréciaient l’éjaculation sur la poitrine ou le visage, Lucie adorait avaler. Chacun avait son rôle.
Lucie adorait qu’on lui lèche le cul, Marie lui rendait service avec plaisir cependant qu’Olivia la branlait. Ainsi passaient les soirées entre les révisions et les sorties.
Marie arriva aux grilles de la propriété dans sa petite voiture, transportant julien et Olivia. Ils n’étaient jamais venus auparavant. Tous d’origine plutôt modeste, ils étaient impressionnés par la taille de la demeure, de son parc, et par la multitude de possibilité de s’amuser qu’offrait l’endroit. Un jardin immense, un bois, une rivière, un chalet au fond. Les trois étudiants, guidés par Lucie devaient essayer leurs costumes de courtisans. Les filles en étaient toutes excitées, Julien faisait le blasé de service.
- ouais, bof ! ça ne va pas être super pratique, non ?
- Qu’est ce que ça peut te foutre, de toute façon il y a de fortes chances qu’on finisse tous à poil dans la nuit, répondit Lucie.
- Moi j’adore, les costumes comme ça ! déclara Olivia, ça me fait toujours penser aux orgies de la cours au temps de Louis XV, j’aurais l’impression d’être la Montespan !
- La montespan c’était la maîtresse de Louis XIV répondit Marie.
- On s’en fout du blaze, ce qui importe c’est l’action, le cul, l’orgie royale ! dit Julien.
- En attendant, enfile ton costard.
Lucie s’éclipsa et revint avec les bras chargés des costumes. Dans un coin de la pièce Olivia caressait le sexe de Julien au travers de la toile de son jean. Julien laissait faire sans rien dire, cependant que la bosse à l’entrejambe avait doublée de volume.
- Vous faites chier, là, gronda Lucie. Le pantalon est serré, tu ne rentrera jamais là dedans avec une belle érection.
- Tu veux dire que rien n’est prévu en cas de gaule intempestive ? Ils faisaient comment à l’époque ?
- Merde, ils avaient des fringues sur mesure, qu’est ce que tu crois ! Bon je crois qu’il va falloir faire disparaître ton machin, et rapidement.
- Attend, c’est bon, je vais le sucer, c’est tout, comme ça il débandera, voilà ! décida Marie.
- Ok, mais grouille toi alors.
- Moi pendant ce temps là je vais lui lécher les couilles, Ok ?
- J’adore quand Olivia me suce les couille ajouta Julien.
Dans un grand éclat de rire et la plus grande confusion, Marie et Olivia baissèrent le pantalon de Julien et se mirent à l’ouvrage, toute les deux à genoux.
Pendant ce temps-là, Julien s’adossa confortablement à une vieille commode Henry IV et caressait les cheveux de ses deux pompeuses.
Lucie resta immobile sur le pas de la porte à les regarder, les bras chargés de soie et de crinoline. Elle senti que son ventre réclamait sa part, que son sexe commençait sérieusement à la chauffer. Elle posa donc son fardeau sur un fauteuil, souleva sa jupe et se branla debout.
Olivia était accroupie devant Julien branlant et suçant le gland tandis que Marie, assise le cul par terre, avec la tête en arrière, léchait successivement les couilles et le cul de julien. Elle se concentra sur les couilles et glissa un doigt dans le cul de son camarade d’étude qui poussa un petit gémissement.
En deux minutes l’affaire était consommée, Julien appela Lucie qui se précipité pour recueillir les précieuses gouttelettes au fond de la gorge.
- Et merde, ça fait chier, si c’est bon pour toi, moi je suis super chaude, et si personne ne me finit je fais un malheur, dit Lucie.
- Moi aussi répondirent en chœur Olivia et Marie
- Allons nous finir dans ma chambre, dit Lucie.
- Et moi, je fais quoi ? demanda Julien.
- Si tu as encore un peu de jus tu te joins à nous, sinon tu mets le pantalon de costume dès que tu auras suffisamment débandé.
Les filles laissèrent donc Julien seul dans la bibliothèque tandis qu’elles grimpaient à l’étage, dans la chambre de Lucie.
Tandis que Julien enlevait son jean resté au bas des chevilles, la tante Chloé
entra sans prévenir.
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