Lucie

Mercredi 15 avril 3 15 /04 /Avr 13:18

Lucie, pour ses dix-huit ans, s’est vu offrir un cadeau pour le moins inhabituel de la part de son oncle Henry et de sa tante Chloé. 

Ils avaient organisés une somptueuse fête dans le manoir familial, une vieille propriété de vingt hectares, à la sortie de la ville, en direction de Laval. C’était une vielle demeure de charme, une grande maison bourgeoise du dix-neuvième siècle entre Trianon et Moulinsart, un endroit aux multiples chambres avec un salon immense suivi d’une bibliothèque et d’un boudoir d’un coté, et d’une vieille sellerie et un bureau de l’autre.

Henry avait prévu une fête magnifique pour le passage de la nouvelle année. Il avait invité tout ce que la région pouvait compter de libertins pour une nuit chaude accompagnée par une sono professionnelle et un sosie parfait de David Ghetto. Il y avait un thème bien sur à cette soirée, c’était celui du siècle libertin, pour ne pas changer. D’ailleurs quand Henry organisait une fête, c’était souvent une occasion de revêtir les habits colorés du dix-huitième siècle et de se poudrer la tête.  Lucie aimait beaucoup ce genre de fête. IL avait fallu deux jours pour tout organiser, tout installer. La sono, les feux d’artifice, les traiteurs et leurs camions de victuailles.

Lucie avait obtenue l’autorisation d’inviter quelques amis triés sur le volet. La tante Chloé avait longuement questionnée sa nièce pour connaître les motivations de ses jeunes invités, s’assurant qu’ils étaient majeurs, dépucelés, et sympathisants à la cause. Lucie avait su la rassurer sur tous les points, lui confirmant que Marie, Julien et Olivia n’en étaient pas à leurs premières partouzes. D’ailleurs si elle voulait, il suffisait de les appeler pour les rencontrer et ôter tout doute. Chloé l’assura que c’était bon, qu’elle lui faisait confiance.

La veille, Lucie appela ses amis et les invita à passer à la propriété. Ils suivaient tous les quatre le même cursus scolaire, et fréquentaient les mêmes cours.  Souvent ensemble, comme un groupe soudé, ils aimaient passer des soirées a ne rien faire d’autre que baiser dans l’appartement loué par les parents de Marie et qu’ils partageaient en colocation.

Baiser n’était pas systématique, mais il ne se passait pas une soirée sans qu’il y en ai au moins deux couchés dans le salon dans des positions aussi drôles que souvent inconfortables. Ils avaient leurs habitudes.


Lucie aimait sucer Julien tandis que Marie et Olivia appréciaient un 69. Julien aimait glisser sa queue dans le cul d’Olivia tandis que Marie lui léchait les couilles.


Si Marie et Olivia appréciaient l’éjaculation sur la poitrine ou le visage, Lucie adorait avaler. Chacun avait son rôle.

Lucie adorait qu’on lui lèche le cul, Marie lui rendait service avec plaisir cependant qu’Olivia la branlait. Ainsi passaient les soirées entre les révisions et les sorties.

Marie arriva aux grilles de la propriété dans sa petite voiture, transportant julien et Olivia.  Ils n’étaient jamais venus auparavant. Tous d’origine plutôt modeste, ils étaient impressionnés par la taille de la demeure, de son parc, et par la multitude de possibilité de s’amuser qu’offrait l’endroit. Un jardin immense, un bois, une rivière, un chalet au fond. Les trois étudiants, guidés par Lucie devaient essayer leurs costumes de courtisans. Les filles en étaient toutes excitées, Julien faisait le blasé de service.

-            ouais, bof ! ça ne va pas être super pratique, non ?

-            Qu’est ce que ça peut te foutre, de toute façon il y a de fortes chances qu’on finisse tous à poil dans la nuit, répondit Lucie.

-            Moi j’adore, les costumes comme ça ! déclara Olivia, ça me fait toujours penser aux orgies de la cours au temps de Louis XV, j’aurais l’impression d’être la Montespan !

-            La montespan c’était la maîtresse de Louis XIV répondit Marie.

-            On s’en fout du blaze, ce qui importe c’est l’action, le cul, l’orgie royale ! dit Julien.

-            En attendant, enfile ton costard.

Lucie s’éclipsa et revint avec les bras chargés des costumes.  Dans un coin de la pièce Olivia caressait le sexe de Julien au travers de la toile de son jean. Julien laissait faire sans rien dire, cependant que la bosse à l’entrejambe avait doublée de volume.

-            Vous faites chier, là, gronda Lucie. Le pantalon est serré, tu ne rentrera jamais là dedans avec une belle érection.

-            Tu veux dire que rien n’est prévu en cas de gaule intempestive ? Ils faisaient comment à l’époque ?

-            Merde, ils avaient des fringues sur mesure, qu’est ce que tu crois ! Bon je crois qu’il va falloir faire disparaître ton machin, et rapidement.

-            Attend, c’est bon, je vais le sucer, c’est tout, comme ça il débandera, voilà ! décida Marie.

-            Ok, mais grouille toi alors.

-            Moi pendant ce temps là je vais lui lécher les couilles, Ok ?

-            J’adore quand Olivia me suce les couille ajouta Julien.

Dans un grand éclat de rire et la plus grande confusion, Marie et Olivia baissèrent le pantalon de Julien et se mirent à l’ouvrage, toute les deux à genoux.

Pendant ce temps-là, Julien s’adossa confortablement à une vieille commode Henry IV et caressait les cheveux de ses deux pompeuses.

Lucie resta immobile sur le pas de la porte à les regarder, les bras chargés de soie et de crinoline. Elle senti que son ventre réclamait sa part, que son sexe commençait sérieusement à la chauffer. Elle posa donc son fardeau sur un fauteuil, souleva sa jupe et se branla debout.

Olivia était accroupie devant Julien branlant et suçant le gland tandis que Marie, assise le cul par terre, avec la tête en arrière, léchait successivement les couilles et le cul de julien. Elle se concentra sur les couilles et glissa un doigt dans le cul de son camarade d’étude qui poussa un petit gémissement.

En deux minutes l’affaire était consommée, Julien appela Lucie qui se précipité pour recueillir les précieuses gouttelettes au fond de la gorge.

-            Et merde, ça fait chier, si c’est bon pour toi, moi je suis super chaude, et si personne ne me finit je fais un malheur, dit Lucie.

-            Moi aussi répondirent en chœur Olivia et Marie

-            Allons nous finir dans ma chambre, dit Lucie.

-            Et moi, je fais quoi ? demanda Julien.

-            Si tu as encore un peu de jus tu te joins à nous, sinon tu mets le pantalon de costume dès que tu auras suffisamment débandé.

Les filles laissèrent donc Julien seul dans la bibliothèque tandis qu’elles grimpaient à l’étage, dans la chambre de Lucie.

 

Tandis que Julien enlevait son jean resté au bas des chevilles, la tante Chloé entra sans prévenir.




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Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : Histoire érotique
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Mardi 14 avril 2 14 /04 /Avr 17:36
 
Lucie est une jeune femme de trente ans. Bien née, bien faite, elle vit à Paris dans un de ces quartiers qui semblent loin de la civilisation et du bruit de ce siècle. Une petite rue qui sent bon le chèvrefeuille et la glycine, un vaste appartement baigné de soleil, sans vis-à-vis dans ce qui fut jadis une épicerie à la façade de bois peint, dotée d’une belle cave où l’on stockait le vin, les grains et la charcuterie.


Lucie est venue au monde précisément à la première seconde des années quatre-vingt, dans un hôtel particulier de Rennes, un vieil immeuble des rues si typiques du centre ville avec ses colombages et ses murs penchés. Elle est arrivée sans bruit, les yeux encore clos, toute timide et pas à l’aise dans un nouveau monde qui lui tendait les bras, dans une chambre au décor fuschia et rose comme un délire psychédélique de vieille héritière anglaise mal fardée.


Sa mère, qui n’avait pu se résoudre à rejoindre l’hôpital si proche, pensait pouvoir la garder à l’intérieur encore un petit peu. Son père, quant à lui, avait fui à l’annonce de sa paternité prochaine. Il n’était qu’un des amants de passage de sa mère, un de ceux qu’elle draguait dans les clubs libertins de la région. Il était bel homme, bien bâti, mais complètement irresponsable. Lucie est donc arrivée chez elle, un matin de janvier, aidée d’un vieux médecin de famille presque en retraite, celui là même qui avait mis sa propre mère au monde et qui se désolait du sort que la vie lui réservait. Elle était déjà jolie avec sa peau fripée et presque violette, elle l’est toujours aujourd’hui.


Lucie a donc trente ans, une vie professionnelle bien remplie et un bel appartement sur une butte du treizième arrondissement. Pas d’homme dans sa vie, juste une chatte qu’elle appelle « pussy ». En réalité quand on dit « pas d’homme » on entend pas de mari, pas de fiancé. Car en réalité Lucie consomme énormément !




La jeune femme a découvert les plaisirs charnels très tôt. Elle avait seize ans lorsqu’elle est tombée, un jour qu’elle s’ennuyait, sur les lectures de sa mère. Adolescente rebelle, en révolte contre le pouvoir et l’argent, elle avait trouvé, un quelconque après-midi, par hasard, « la philosophie dans le boudoir » du Marquis de Sade. C’était une vieille édition illustrée de gravures monochromes évocatrices. Tout d’abord à la recherche de quelques pièces ou billets cachés dans l’alcôve maternelle, le vieux livre lui était tombé dans les mains sans qu’il n’y paraisse rien d’une étagère un peu haute. Curieuse de nature, Lucie s’installa donc sur le lit toujours rose, les jambes croisées, le manuscrit sur les genoux et dévora l’éducation morale, sexuelle et politique de la douce et jeune Eugénie par la courtisane Madame de Saint-Ange, son frère, le chevalier de Mirvel et son ami Dolmancée. Elle y découvrit des choses auxquelles elle n’avait jamais pensé, l’homosexualité, l’amour à plusieurs. La lecture de l’ouvrage n’avait pas tardé à lui mettre le rouge aux joues et le feu dans la culotte, c’est donc la tête en arrière, rallant et gémissant que sa mère la trouva, le pantalon au bas des chevilles et deux doigts bien humides dans le vagin, poussant des petits cris.

Il faisait déjà sombre dehors, lorsque sa mère rentra. La belle plus très fraîche venait de passer un bel après midi dans le lit d’un voyageur de commerce à l’hôtel des petits chevaux, un homme marié rencontré dans un bar près du parlement de Bretagne, un type aux bonnes manières qui lui avait fait étalage de ses prouesses et lui proposant de tester, bien entendu, pour témoigner de son honnêteté et voir que rien n’était exagéré, dans cet hôtel miteux près de la gare. Il s’était déshabillé, lui avait demandé de le branler pour qu’elle constate l’énormité de la chose décrite tout en lui recommandant que c’était en le suçant qu’elle obtiendrait les meilleurs résultats. La mère le suça donc, l’enfourcha, s’empala, et ne se retira que pour mieux le boire.

Elle rentra silencieusement et s’apprêtait à se coucher quand elle vit sa fille râlant sur le lit. Elle hurla en se prenant la tête dans les mains, un hurlement de femme folle ou fragile, comme un cri de douleur. Sans que Lucie aie eu le temps de se rhabiller elle s’était précipité sur elle et l’avait battue de manière désordonnée. Des coups comme des gifles, sur le visage et le corps. Lucie n’avait rien senti, s’était contentée de basculer de l’autre coté et de remonter son pantalon à la hâte avant que sa mère ne fasse le tour du matelas pour recommencer. Lucie avait donc fuit quelques jours dans les squats du centre ville. C’est là avec Edouard, un punk iroquois, qu’elle perdit sa virginité.


La mère de Lucie était folle, folle à lier, folle à enfermer. Ses hommes, ses amants, tous partis, l’avaient laissé tomber parce qu’elle était cinglée. Lucie le savait bien. Elle s’était rendue compte depuis l’enfance que sa mère glissait peu à peu vers l’inexorable folie. Celle qui ronge le cerveau. Au début ce n’étaient que quelques instants d’absence qui se sont multipliés comme par épisodes. La maladie avait gagné - Treponema Pallidum stade IV – la syphilis, celle qui tue. Pourtant elle avait été très jolie, riche et courtisée. Hélas, ses amants n’en avaient voulu qu’à son cul et à son fric. Elle avait donc perdu l’un et l’autre en ne gagnant qu’une saleté qui l’emporterait aussi sûrement que le fleuve emporte avec lui le limon vers la mer.

A seize ans donc, Lucie quittait sa génitrice et perdait son hymen le même jour dans un vieil appartement sans fenêtres, occultées par des parpaings scellés, allongée sur un matelas antique qui sentait l’urine et le mauvais vin.

Edouard, ce n’était pas un prénom convenable pour un punk à crète. Tout le monde l’appelait donc Sid, en hommage à Sid Vicious, mort avant même sa naissance. Sid était un fils de prolo de la zone de Villejean, près de la fac de lettres. Il avait été un gentil petit garçon mais un ado difficile. Il avait quitté ses vieux à dix-huit ans sans rancunes ni avenir, juste la gloire bien éphémère d’être le dernier keupon crêteux de la ville. Il n’avait aucune ressource, rien que le fruit de la mendicité sur la place de l’hôtel de ville, quelques euros par-ci par-là qui lui permettaient de picoler et manger.

Il avait trouvé Lucie qui se cachait dans sa turne, il l’avait cachée, aidée comme il pouvait et surtout, lui avait communiqué – à sa demande expresse - sa science de la baise qui se résumait à la levrette, la fellation et la sodomie.

Lucie avait trouvé ça nul, immonde. Elle s’était tirée à nouveau pour atterrir chez un oncle qui la remit sur les rails et lui permit d’achever des études honorables en communication et management.

Le même oncle se chargea même de terminer son éducation sexuelle bâclée en lui montrant sa collection de vidéos et en l’invitant à partager quelques parties fines avec sa femme et quelques invités. Il était bel homme, beaucoup plus jeune que sa pauvre sœur puisque entre Lucie et lui il n’y avait pas dix ans. Henry, c’était son prénom, était marié à Chloé, libertine autant qu’il était libertin. Ils n’avaient pas d’enfants, et c’est un relisant Le Marquis et les prouesses de Dolmancée qu’il eu l’idée d’achever l’éducation de sa nièce.

Elle s’installa donc chez lui avec plaisir près du Mans, tandis que sa mère déménageait de manière définitive dans une petite chambre médicalisée de l’hôpital psychiatrique, au sud de la ville.

En peu de temps le vieil hôtel particulier fut vendu pour une jolie somme dont hérita Lucie, à la mort de sa mère, quelques années plus tard, d’un étouffement nocturne.

A vingt ans, Lucie était une femme libre et belle, mais aussi une sacrée cochonne…



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Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : les jeunes exhibes
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