Lucie

Mercredi 22 avril 3 22 /04 /Avr 08:32

Il était presque dix heures quand Lucie entendit frapper à la porte, en bas.  Il faisait un temps formidable, et les premiers rayons du soleil frappaient chaudement sa peau nue et découverte.

Lucie ne s’était pas levée ce matin, c’était un dimanche. Elle était sortie la veille, dans un bar près de la place de la république. Elle y avait eu un rendez vous avec une fille. Elle se rappelait confusément qu’elle s’appelait Christine, qu’elle était institutrice et lesbienne honteuse. Lucie, qui était détendue, l’avait laissé la baiser.

Christine était nouvelle à Paris. Elle débarquait d’une province où elle n’avait jamais pu assumer son homosexualité, trop seule. Elle avait confiée à Lucie en rougissant que son truc à elle c’était de lécher des chattes comme on boit au goulot, jusqu’à l’ivresse. Glisser sa langue entre les lèvres, jouer avec le bouton à en faire hurler sa partenaire. Lucie avait trouvé ça parfait, et s’était laissé accompagner chez Christine dans un petit appartement de la rue de la lune, près du métro « bonne nouvelle ». Que des jolis noms pour un quartier à la con ! La rue en elle-même n’était pas sordide, mais trop grise, trop étroite. En se penchant par la fenêtre de la chambre de Christine, Lucie avait l’impression qu’elle pourrait sauter dans l’appartement du voisin d’en face.

C’était un petit  deux pièces, avec le strict nécessaire. Un canapé lit défait, un bureau et un ordinateur portable au milieu d’un tas invraisemblable de bouqins en tout genre, une kitchenette peinte en rouge et une micro salle de bain. Une institutrice, ce n’est pas riche, et les loyers parisiens sont hors de prix.

Cependant, elles avaient passée une partie de la nuit à se frotter, à se câliner, et a s’explorer mutuellement.

Christine ne l’avait pas trompée, elle avait passé l’essentiel de son temps collé contre sa vulve. Elle en avait tellement salivée, Lucie avait tellement mouillée, qu’elle avait eu la sensation de baigner dans une mare de bave et de cyprine. C’était bien simple, Lucie était mouillée jusqu’e dans le bas du dos.

Parfois Christine relevait la tête avec un air de junkie et demandait « alors, ça va ? Tu aimes ? » Il n’y avait rien d’autre à répondre que « vas-y, bouffe » et à lui reculer la bouche sur les lèvres ouvertes d’un mouvement de la main sur sa tête.

Certes, Lucie avait jouie plusieurs fois, ça avait été vraiment bon, surtout qu’elle n’avait pas vraiment eu l’envie de diriger. Non, Lucie avait juste eu envie de se laisser faire, complètement passive.

Ce n’est que vers deux heures du matin, la chatte en feu et ruisselante, que Lucie se leva pour se doucher avec l’intention de s’en aller.

-                tu n’as pas aimé ?

-                Si très ! mais i l faut que je rentre !

-                Tu ne m’as presque pas touchée ;

-                Ecoute, Christine, tu es gentille, mais ce soir je n’avais pas du tout envie de diriger, tu as été parfaite et j’ai voulu que tu profites de mon minou comme tu aimes.

-                C’est vrai ?

-                Oui, t’inquiète ! tu sais, il y a des jours où je t’aurais empalée comme une sauvage avec un dildo énorme, où je t’aurais fistée ou enculée. Il y a des jours où je t’aurais demandé de me baiser le cul, mais là, j’avais simplement besoin de me détendre. Tu m’avais dit que tu adorais ça.

-                Hmm, merci, mais c’est con, j’aurais appréciée que tu joue avec moi aussi, peut être pas avec un dildo ou un god ceinture,  juste la langue, les doigts…

-                Désolée poupée, pas ce soir.

-                On se revoit quand ?

-                Normalement, avec moi, c’est jamais. Je ne m’attache pas, tu comprends ?

Lucie était donc partie après avoir appelé un taxi, laissant Christine toute triste enroulée dans ses pauvres draps tout mouillés.

Le taxi avait traversé la ville pour la ramener chez elle où elle s’était écroulée comme une masse. Il était donc maintenant dix heures, et un inconnu insistait lourdement sur le battant de la porte.

Lucie s’enroula d’un drap et descendit voir qui pouvait bien l’emmerder de si bonne heure. Les cheveux en bataille et les yeux à peine ouverts, encore collés.

C’était Julien, lunettes de soleil, polo noir et rasé de frais, un sac de croissants à la main.

-                Ho Lulu, t’es là ? ouvre !

-                Putain, c’est toi Ju ? tu as vu l’heure qu’il est ?

-                On est dimanche, il fait un temps superbe, il est dix heures, et à voir ta tête t’as du baiser toute la nuit. Ton partenaire est encore là ? Si je t’emmerde, tu me le dis, hein ?

-                Oui, tu m’emmerde, et non je suis seule, ok ?

-                Bon, je me tire ?

-                Non, c’est bon rentre.

Il n’y avait jamais eu de pudeur entre eux, Lucie jeta le drap froissé dans un coin près de l’entrée et se mit en tête de faire un café fort.

-                Laisse, je m’en occupe, dit Julien.

-                Merci, je vais prendre une douche.

Lucie remonta tandis que Julien lui matait les fesses.

-                Il te plait toujours mon cul ? dit Lucie dans l’escalier.

-                Comment sais-tu que je regardais ?

-                Parce que tu mattes  tous les cul que tu peux, même ceux que tu connais par cœur.

-                Bah ! tu as toujours un cul de compétition.

-                Merci, c’est gentil ! Mais pas ce matin, d’accord ?

-                Oh, je n’étais pas venu pour ça !

La douche ne prit que quelques minutes tandis que Julien s’occupait du petit déjeuner.  Lucie s’épila rapidement sous l’eau chaude et sortit enfiler une tenue décontractée, un jean et une chemise, pas de culottes.

-                Alors raconte ta nuit !

-                Y’a rien à dire, juste une baise avec une fille banale, dans un appart pourri. Je ne l’ai même pas touchée !

-                Oh ?

-                J’te jure !

-                Tu as juste écarté les cuisses alors ?

-                Bah oui.

-                Tu me surprends !

-                Dis, tu es juste venu t’enquérir de mes baises ou tu es venu pour quelque chose de plus intéressant ?

-                Je suis juste passé parce que ça faisait un bail, c’est tout…

-                Menteur !

Julien était un peu gêné aux entournures, pas à l’aise dans ses fringues, Lucie l’avait toujours bien calculé.

-                Bon, voilà, j’ai besoin de ton avis. Un type m’a proposé de vivre avec lui, je crois qu’il me kiff à mort. Il veut qu’on se mette ensemble.

-                Il sait que t’es bi ?

-                Non, je ne lui ai jamais dit.

-                Arrête moi, là, tu ne serais pas en train de me dire que tu vires complètement homo, non ?

-                Je ne sais pas, parfois je me demande.

-                Je me souviens parfaitement que ça te plaisait quand tu te faisais sucer par trois colocataires ! on n’avait jamais besoin de te forcer !

-                Et j’aimerais toujours, mais ces dernier temps j’ai passé beaucoup plus de nuits avec des mecs qu’avec des filles. Et tu veux savoir ? j’avais presque oublié comment c’est foutu une fille.

-                Bon, soit t’es venu pour me bouffer la chatte pour voir si ça te fait encore bander, soit tu es venu parce qu’en réalité ce type t’emmerde et que tu ne sais pas comment lui dire non. Pire, même, si ça se trouve ce mec bosse dans la même boite que toi…Ou pire encore, c’est ton bosse.

-               

-                NOOOOOOOOOOOOON ! je n’y crois pas, c’est ton boss ?

-                Non, c’est pas mon boss, on travaille ensemble sur une même opération, je l’ai sur le dos 24/24. Au début j’avais bien vu qu’il avait un coté petit pédé sympa, alors j’en ai profité, mais il est devenu vite accro, maintenant ce con veut qu’on ai une vie de couple normal. C’est la première foi qu’on me le propose, ça me fait tout drôle.

-                En gros tu veux que je m’occupe du problème à ta place ?

-                C’est vrai tu ferais ça pour moi ?

-                Bon dieu, t’as vu où que je disais oui, hein ?

-                Ha merde !

-                Bon ok, je m’occupe de lui, mais c’est juste parce que c’est toi, d’accord ?

-                Tu ne veux pas me sucer un coup pour voir si je bande encore pour une fille ?

-                Vas te faire enculer !  mais si tu veux tu peux me reluquer les nichons, tu veux que j’ouvre ma chemise ?

-                Bah, non, c’est bon, ça va aller.

-                Tu peux aussi essayer de te branler pendant que je bois mon café !

-                Arrête Lucie, t’es chiante.


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Mardi 21 avril 2 21 /04 /Avr 09:16

Aujourd’hui, Lucie ne voit plus Marie, et ne rencontre Olivia qu’occasionnellement. La première suit une carrière intéressante de chargée de communication pour une boite française implantée aux états unis ; la seconde est bêtement mariée à un imbécile qui l’exhibe comme une poule de luxe et la frappe quand il boit. Il est riche, très riche, mais c’est un sombre con.



Julien passe de temps en temps à Paris, mais ne reste jamais vraiment longtemps, un jour ou deux, tout au plus, même s’il en profite toujours pour aller faire un saut chez sa vieille amie. Julien passe sa vie entre la City de Londres et le quartier d’affaires de la Défense. Il a un bon job, un bel appart  dans le sixième arrondissement et un deux pièces sur Craven Terrace, à deux pas d’Hyde Park.


Pas de femme, pas de gosses, juste des filles, quelques mecs, il a su écouter les conseils de Chloé quelques années auparavant.

Henry et Chloé sont toujours dans leur propriété près du Mans et organisent toujours de superbes fêtes autour de leur nouvelle piscine. Henry s’appelle désormais Jade depuis qu’il a achevé son cycle de transformation. Lucie avait toujours trouvée son oncle un peu « spécial » et n’avait jamais imaginé ce qu’il avait derrière la tête. Il avait tout d’abord suivi un traitement hormonal, puis avait été se faire opérer à Bangkok, par un grand spécialiste. Henry – jade -  a maintenant une paire de sein tout à fait honorable et un vagin tout neuf. Sa voix s’est transformée, sa peau aussi. Il a une peau qui ne ressemble plus à celle d’un mâle, il a une vraie peau douce et une croupe de pouliche. La pénétration vaginale lui était encore douloureuse, ça ne l’empêchait pas de savourer une bonne sodomie.

Jade et Chloé passaient parfois au hasard de leurs aventures chez leurs amis de la capitale. Lucie avait trouvé étrange au début, puis s’y était faite et avait complètement abandonnée l’idée de l’appeler « mon oncle ». Pour autant, elle ne l’appelait pas « ma tante », il n’y en avait qu’une qu’elle n’appelait d’ailleurs que par son prénom. C’était donc maintenant simplement « jade ».


Lucie s’était installée à Paris à l’age de vingt-deux ans. La ville n’était déjà plus tout à fait inconnue pour elle. Une partie de son héritage lui avait servit à faire l’acquisition d’un ancien commerce qu’elle avait fait refaire avec goût. Il y avait une large baie vitrée en verre cathédrale qui remplaçait la vieille vitrine, une entrée qui donnait sur une grande pièce unique qui servait de salon et de cuisine, une pièce de quatre-vingt mètres carrés obtenue en cassant quelques cloisons.

Dans un coin du salon, un escalier de fer forgé donnait sur l’étage en mezzanine composé d’une grande chambre lumineuse qui abritait la salle de bain avec jacuzzi, des toilettes et un grand bureau.






Derrière l’escalier, une trappe escamotable permettait de descendre dans la cave voûtée qui servait autrefois de stockage et qui abritait aujourd’hui un donjon SM spécialement aménagé. La cave ne servait pas très souvent, seulement à quelques habitués de passage, quelques groupes d’amateurs qui allaient d’un donjon à un autre comme un cercle très fermé d’amateurs de la littérature de Bösersach. Il se trouvait parfois un membre pour proposer une soirée chez l’un ou chez l’autre, annonçant fièrement avoir trouvé une vierge presque effarouchée pour une séance de torture simulée. Lucie avait trouvé l’idée amusante au début, et puis avait trouvé que finalement tout cela obéissait à trop de codes et manquait de spontanéité.
Elle avait trouvé amusant un jour de fesser violemment une fille un peu bête. Mais on lui avait fait comprendre que si elle ne voulait pas de problèmes avec les mœurs, il était préférable qu’elle se calme et y aille mollo. La fille avait eu les fesses striées au sang et était rentrée chez elle en pleurant à chaudes larmes. Claudie, enfin « maîtresse Claudie » lui avait dit « Putain, t’es chiante ! Qu’est ce qui t’as pris de la frapper comme ça ? T’es dingue ou quoi ?

-  Quoi ? Ce n’est pas pour ça qu’elle est venue peut-être ?

-                Tu n’étais pas obligée de frapper comme une dingue ! la pauvre ne va pas pouvoir s’asseoir pendant une semaine.

-                En plus, ajouta Robert, j’ai même pas joui, merde. Qui va me finir maintenant.

-                Branle toi !

-                Moi je dis, après ce que tu as fait on devrait tous te foutre une bonne raclée !

-                Vous voulez que je prenne sa place ? pour moi ce n’est pas un problème, mais vous, vous oserez me frapper comme je l’ai frappée ? Vous n’êtes que des simulateurs !

-                OK ! on va t’attacher au chevalet et on va te saigner les fesses, mais ne vient pas te plaindre après !

Ils l’attachèrent donc et la fouettèrent à tour de rôle. Robert lâcha sa purée dans ses cheveux, tandis que Claudie la fouettais avec une tapette de cuir et que Charles lui pinçait les tétons. Ils y avaient mit de l’ardeur et de la force, Lucie avait eu mal mais avait serré les dents. C’est Claudie qui la fessait, pendant que robert se branlait, pathétique.

Ils n’avaient pas eue l’occasion d’aller au bout de leurs fantasmes, un manque certain de courage. Lucie s’en était trouvée plus forte, plus sûr d’elle. Ho bien sûr elle avait eu mal aux fesses, deux ou trois jours, mais rien d’insurmontable quand on assume ce genre de jeu. Même, elle y avait trouvé un certain plaisir animal. Elle avait lâchée « maîtresse Claudie », Charles et Robert et avait trouvée une autre bande d’affamés comme elle.

 

Mais Lucie était une solitaire. Jamais elle n’avait envisagée de vivre avec quelqu’un ou quelqu’une. Elle était maintenant une sorte de prédatrice, en perpétuelle quête de proie. Son truc c’était les rencontres sur internet, les baises éclaires, les rencontres fortuites.




Femmes, hommes, qu’importe, Lucie voulait qu’on la fasse jouir. Depuis son enfance elle avait développé un goût démesuré  pour cette sensation, ce frisson électrique qui la parcourait quand elle venait.  Lucie se disait que peut-être elle s’engagerait si elle trouvait la personne qui la ferait vraiment hurler à tous les coups, mais jusqu’à présent elle n’avait trouvé que des coups moyens, elle en était presque désolée pour eux.



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Lundi 20 avril 1 20 /04 /Avr 08:48

La soirée d’anniversaire et de nouvel an avait été parfaite. Lucie était enfin majeur.

Si l’oncle et la tante à peine plus âgés l’avaient initiée à la culture, aux plaisirs et à l’hédonisme en général, son âge, au moment de son initiation, l’avait privée des joies des grandes soirées et des rencontres libres dans les clubs qu’ils fréquentaient.


La soirée était destinée à combler ce manque.

Les invités étaient arrivés relativement tôt, vers dix-neuf heures. Il y avait du champagne, des alcools un peu plus forts, et des montagnes de nourriture. Tous les convives sans exception étaient perruqués, poudrés, et habillés comme des princes de condé ou des Marie-Antoinette.  Marie, Olivia et Julien avaient les yeux grands ouverts comme ébahis devant une reconstitution historique parfaite. Il y avait une centaine de convives, une faible majorité de femmes. Le début de soirée, donc, restait relativement soft. Il y avait bien quelques filles pour pomper un mec ou quelques mecs pour sucer une fille, mais ça dansait beaucoup, ça papotait dans les coins, ça riait aux éclats. Quelques types plus malins avaient apportés un peu de coke et traçaient quelques lignes.

Lucie était captivée par la vue d’une Pompadour accroupie, les jambes bien écartées, la vulve à l’air, qui avalait un sexe énorme, tout doucement, langoureusement, tout en se masturbant d’une main gantée. Le type ne semblait même pas faire attention à elle, occupé à parler de tout et de rien, avec un quadra débonnaire. La fille semblait jolie, hyper fardée, hyper poudrée. Elle avait une mouche sur la joue, une fantaisie à la mode en ce temps là, tracée au crayon. Lucie eu presque envie d’aller lui fourrer un doigt dans le cul pour qu’elle accélère le mouvement, mais resta à la regarder de manière hypnotique.

Julien s’approcha d’elle.

-           Putain, je me ferais bien sucer aussi, là tout de suite !

-           Ce n’est pas les bouches qui manquent mon pauvre !

-           Toi, tu ne me sucerais pas ? là dehors ?

-           N’importe quoi ! c’est une soirée libertine Julien, le principe c’est que si on a envie de baiser on le fait sans honte, à la vue de tout le monde.

-           Si tu commences à avoir de la pudeur, autant sortir et changer de fête !

-           Arrête, c’est juste que je ne me sois encore jamais fait sucer par quelqu’un que je ne connaissais pas.

-           Tu veux que je demande à la première fille qui passe ?

-           Tien, oui, ça pourrait être drôle !

Lucie tourna la tête de chaque coté, et aperçu une fille qui venait dans leur direction. La fille était superbe, genre bourgeoise, blonde, peu de poitrine, mais un charme d’enfer.

-           Elle te ferait bander celle-là ?

-           Ha ouais, carrément !

Lucie se tourna vers elle et l’interpella.

-           Hé, salut, mon copain aimerait se faire sucer par vous mais il est un peu timide.

-           Bonsoir, moi c’est Isabelle, je viens de sucer deux types dans la bibliothèque, j’ai un peu mal à la mâchoire, mais attendez…

La femme se tourna et appela une amie à elle.

-           Joy, tu pourrais sucer le jeune homme ?

-           Pas de problème !

Joy semblait un peu moins jolie, mais toute aussi prête à rendre service. Sans attendre, elle se mit à genoux et pompa Julien après l’avoir déboutonné avec expérience.

Lucie poursuivit donc la conversation avec Julien, pendant que celui-ci se pâmait  dans la bouche de la blonde.

A minuit, après que tout le monde se soit déshabillé pendant le décompte, l’oncle Henry prit le micro des mains du DJ et appela l’attention du public.

-           S’il vous plait ! S’il vous plait, un petit instant s’il vous plait. Ce soir est une date importante à plusieurs points de vue. En effet nous venons de fêter la nouvelle année, mais comme certains le savent aussi, c’est l’anniversaire de ma nièce Lucie !

Il y eu des cris de joie, des applaudissements et des encouragement cependant que Lucie approchait de son oncle un peu confuse. Chloé se tenait à ses coté, toute heureuse, les seins à l’air.

-           Bien, comme ma chère Lucie est aujourd’hui majeure, que nous l’avons élevée selon les préceptes du divin Marquis, je tenais à lui souhaiter son anniversaire de manière originale.

Il y eu des HOOOO !!!! dans l’assistance.

-           Ma chère Lucie, voici ton cadeau !

Sous les applaudissements arrivèrent dix-huit jeunes hommes superbes, baraqués comme des gogo-danseurs, et membrés comme des ânes portant un magnifique fauteuil or et rouge.

Henry accompagna sa nièce rougissante sur le fauteuil et lui dit « Ma chérie, ces dix-huit garçon sont à toi, jusqu’à ce que tu les fassent tous jouir ! »


Lucie, rouge de plaisir joignit ses mains comme pour une prière et mit un instant avant de choisir lequel aurait le premier les honneur de sa bouche.

Finalement elle leur fit signe de se mettre en cercle et elle s’assit sur son fauteuil, bien confortablement en les suçant un par un. Quant elle en eu mal à la mâchoire, elle s’assit plus profondément et posa ses jambes sur les accoudoirs, ils la pénétrèrent à tour de rôle. Enfin, elle se mit à genoux sur le fauteuil, tendit son cul et les invita à l’enculer à tour de rôle. L’aventure dura deux heures.

Deux heures à prendre du plaisir avec dix-huit types gaulés comme des statues grecques, endurants comme des coureurs de marathon. Finalement et de manière relativement homogène, ils finirent tous par éjaculer sur son corps, son visage, dans sa bouche ou sur ses cheveux.

Deux heures pendant lesquelles Lucie ne prêta pas attention à ce qui se passait autour d’elle.



Quand elle émergea enfin, elle s’aperçut que la salle était une véritable mer de chair humaine, une gigantesque partouze où les corps se mélangeaient autour d’elle.  Il y avait une armée de queue, des bataillons de croupes levées, des flots de sperme qui coulaient, des trios femme-femme-homme, des couples homme-homme ou femme-femme. Devant son fauteuil elle reconnu Chloé qui embrochait l’oncle Henry qui embrochait lui-même un autre type dans une version toute personnelle du petit train.

Il y avait des perruques sans têtes, des têtes sans perruques, de la poudre et du maquillage partout.  Non loin, elle discerna Marie qui se branlait avec le goulot d’une bouteille de champagne en léchant un cul inconnu.

 

Ce fut une fête magnifique, une orgie formidable. Lucie se rappelait avec émotion de ses dix-huit ans.


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Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : les jeunes exhibes
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Vendredi 17 avril 5 17 /04 /Avr 08:26

Lucie était déjà allongée sur son lit avec Marie et Olivia. Elles étaient nues, n’avaient absolument rien gardé. De son secrétaire, près du lit, elle avait retiré une belle boite contenant divers sex-toys. Il y avait un collier en perles véritables, un butt-plug, plusieurs vibromasseurs de tailles et de coloris différents, ainsi que des plumes et une fiole de poppers.


Les filles se caressaient langoureusement dans un triangle de chairs improvisé.  Lucie promenait ses doigts sur les tétons d’Olivia tandis que Marie caressait les cuisses de Lucie. Olivia, elle, embrassait le cul de Marie tandis que sa main gauche soutenait un de ses seins qui pendaient dans le vide comme deux globes pleins, deux douces poires alléchantes et tièdes.



Lucie pensait que ces moments entre filles étaient vraiment géniaux tant elle prenaient du plaisir dans ces longues caresses qui leurs mettaient le feux partout.


Les filles savaient, mieux que les garçons, trouver les moindres recoins de plaisir. Une main sur le ventre, une autre sur le cou, le lobe de l’oreille, le nombril, le dos, le creux du genou et les pieds. En fait, tout le corps de la femme est une zone érogène, il suffisait simplement  de le stimuler correctement, et seules les femmes en avait le secret.



Pour la plupart des mecs, les zones érogènes féminines se limitaient au sexe, à l’anus et aux seins, point barre. Pourtant, même un baiser pouvait lever des sensations formidables. Les filles entre-elles s’attachaient donc à stimuler par les caresses tout ce qui pouvait l’être.

Marie adorait qu’on lui embrasse l’oreille, qu’on y promène la langue. Ça lui procurait des décharges dans tout le corps. Olivia adorait qu’on lui caresse le dos en lui mettant un doigt dans le cul, juste un, lentement. Lucie, quant à elle, devenait folle quand on lui léchait le périnée, cet espace entre la vulve et l’anus.  Elle adorait également qu’on lui caresse les aisselles.  C’est comme ça que les trouva Chloé quand elle ouvrit la porte tout doucement. Marie et Olivia ne l’entendirent pas rentrer tandis que Lucie lui demanda tout naturellement de les rejoindre.

Marie se retourna brusquement, surprise, et Olivia étouffa un petit cri en tentant de se recouvrir avec un maigre bout de couette.

-           C’est rien, c’est ma tante Chloé ! pas la peine de te cacher Olivia.

-           Bonjour, je me suis dit que c’était le bon moment pour faire connaissance, je ne vous dérange pas au moins ?

-           Pas du tout répondit Lucie, en fait nous en étions aux préliminaires, tu tombes bien !

Marie se retourna vers Lucie interdite.

-           Tu couches aussi avec ta tante ?

-           Bah oui, qu’est ce que tu crois, c’est elle qui m’a appris tout ce que je sais.

Chloé se déshabillait tranquillement. Olivia nota qu’elle ne portait pas de culotte et Lucie vit la coulée de sperme sur son bas.

-           Tu as de la gelée sur la jambe, c’est normal ?

-           C’est votre ami en bas qui en est responsable, il m’a gentiment enculée dans la bibliothèque, un garçon charmant !

-           Sur un bas ça n’est pas terrible !

-           Peut-être, mais dans le cul c’était divin !

-           Merde, on n’avait pas tout pompé alors ?

-           Il faut croire que non.

-           Bien les filles, je suis à vous !

-           Tu pourrais enfiler un god-ceinture, tantine ?

-           Hmm, pourquoi pas, tu veux que j’aille chercher mon attirail ?

-           Pas la peine, j’ai celui que tu m’avais offert l’été dernier.

Chloé était nue à présent. Elle était du genre old-school avec son duvet taillé en triangle. Les filles, elles, étaient entièrement épilées.

La tante enfila le god-ceinture, un solide penis noir de taille honorable qui lui allait parfaitement. Il était suffisamment rigide pour glisser dans n’importe quel trou, et suffisamment souple pour éviter les accidents. Lucie prit une crème antiseptique et l’enduisit comme on branle une vraie queue.

-           Voilà, avec ça on ne risque rien, pas d’irritations, pas de champignons !

Les filles étaient à présent toute excitées devant la fière Chloé et son membre dressé. Le poppers libéré sur une petite coupelle eu un effet immédiat. Marie sentait son sexe la démanger furieusement, Olivia se mit à quatre pattes et écarta les fesses en couinant un petit « défonces-moi » tandis que Lucie se précipita pour lui lécher l’anus détendu. C’est Marie qui guida le membre noir et luisant vers l’orifice tandis que Lucie s’allongea de manière à ce qu’Olivia lui bouffe la chatte tout en se faisant défoncer.

Lucie se branlait frénétiquement et sentait les coups de boutoir involontaires de son amie contre son mont de vénus. Chloé besognait son cul consciencieusement et en cadence tandis Que Marie lui dévorait les seins. Le matelas bougeait comme un bateau dans une tempête, et les cerveaux déboussolés ne savaient plus où était la terre, où était le ciel.  Enivrée par le poppers, Marie tomba du lit et resta sur le dos, par terre. Elle saisit un god vibrant lumineux et se pénétra le vagin sans avoir à lubrifier ce qui était déjà bien inondé. Lucie eu un orgasme saisissant, comme un long frisson violent qui la traversa des pieds à la tête. Elle arracha la tête de son amie de sa vulve, Olivia avait la bouche trempée, dégoulinante de cyprine et de salive, elle semblait en transe, les yeux ailleurs. Chloé transpirait fort, le geste de va et vient du bassin laissait apparaître par l’effort sa musculature impressionnante, elle avait une magnifique « plaque de chocolat » et les tétons fièrement dressés et les auréoles gonflées par l’excitation.

Par terre, Marie se branlait le cul. Elle avait introduit presque une main sans le pouce dans l’orifice béant, tandis que l’autre main faisait des mouvements rapides et désordonnés avec le god qui vibrait avec un son aussi caractéristique que ridicule de rasoir électrique.

Lucie bascula près de Marie et entreprit de lui lécher le clitoris. Elle adorait s’en occuper car Marie avait la particularité d’avoir un bouton qui enflait incroyablement sous l’excitation. Julien le comparait à un petit cornichon, Lucie trouvait ça très con.

Olivia et Marie poussaient des HAAAAAAAA !!!!! Chloé scandait des HAN !! À chaque poussée, Lucie ne disait rien, et se concentrait sur les mouvements de sa langue. Elle sentit les mains de Marie lui saisir les hanches et la rabattre violemment vers elle, Lucie enfourcha donc Marie et passa une jambe par-dessus sa tête. Marie se rua, langue dardée, vers ce qu’elle appelait la « porte du jardin », que Julien appelait « l’entrée de service ». Un pur délice. Elle ne se contentait pas de lécher les bords, elle donnait  des petits mouvements de pénétration qui n’allaient pas bien loin, mais qui lui procuraient des sensations extrêmes.

Après un ultime assaut, Olivia plongea vers le lit, le cul béant,  tandis que Chloé déconait dans un drôle de bruit de succion, fatiguée par l’effort, en nage. A ce moment là Marie fut secouée de spasmes violents et cria en se recroquevillant, emportée par une vague de jouissance pure.

Lucie se leva la première et ouvrit la fenêtre pour dissiper les dernières vapeurs de Poppers. Quand elle revint près des filles elle constata que Marie et Olivia semblaient KO, allongées comme prostrées, tandis que Chloé restait sur ses genoux, hagard.

Bon, maintenant que les présentations sont faites, on n’a plus qu’à essayer nos robes, nous aussi !


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Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : écriture libertine
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Jeudi 16 avril 4 16 /04 /Avr 07:38

Quand Julien s’aperçut de la présence de la tante de Lucie, il vit qu’elle souriait, les bras croisés. Bien évidemment il ne la connaissait pas, mais son assurance et sa décontraction lui laissèrent comprendre qu’elle n’était pas la bonne.  Elle était vêtue d’un chemisier blanc classique, avec un foulard noir autour du coup, une jupe de couleur crème sur de longues jambes fines et sportives, chaussées de talons aiguilles. La tante  Chloé semblait très jeune, Julien ne lui donnait pas plus de vingt-cinq ans. Elle avait l’air féroce avec sa frange et ses lunettes en écailles, mais il y avait dans son look de dominatrice et de maîtresse femme un coté hyper sexuel qui lui donnait envie de la bourrer sauvagement ou alors de lui demander de le fesser au sang.

-      -    Bonjour, je peux vous aider ?

-      -     Vous êtes la tante de Lucie ?

-      -      C’est exact ! je suis sa tante, en effet, et vous êtes donc son ami Julien je présume ?

-      -      C’est bien moi.

-      -      Vous êtes quasiment nu dans ma bibliothèque, vous savez ?

-      -      Oui, hé bien j’ai ce costume à essayer, je n’avais pas d’autre endroit…

-            Et vous ne portez pas de caleçon ? Vous êtes bien cavalier !

-            Jamais, madame. Je suis peut-être de naissance modeste, mais je sais me tenir, j’aime me sentir libre dans mes pantalons, et puis c’est une certaine forme d’honnêteté. J’affiche sans honte ma propriété !

-            Je ne vous en blâme pas et vous avez parfaitement raison, j’approuve votre « honnêteté ». Je vois aussi que vous n’avez aucune sorte de pudeur !

Julien, en effet ne cachait rien de son anatomie.

-        -    Pourquoi en aurais-je, ce que la nature m’a donné, n’est pas un objet de honte, c’est au contraire toute ma fierté.

-       -     J’aimerais y goûter, si vous n’y voyez pas d’inconvénients.

-       -     C’est que, madame, on vient de me pomper, pas plus tard qu’à l’instant, je ne sais pas si je pourrais être à la hauteur de vos attentes !

-            Ne soyez pas gêné et laissez moi en juger. Je connais mille façons de rendre vie au plus ensommeillé des vits.

-      -  Plus le temps s’écoule et plus nous nous mettons à parler à la manière qu’il convenait au dix-huitième siècle, vous ne trouvez  pas ?

-       -     Certes, mais si tu veux gamin, on peux causer plus simplement, viens ici, approche toi, mais je te préviens, si tu n’arrives pas à bander, tu devras me bouffer la chatte.

Chloé se jeta sur le bout de viande qui pendait lamentablement et se mit à la tâche. Elle pompa sans relâche, et ma foi, Julien retrouva une belle érection.

Quand elle fut satisfaisante, Chloé se releva, se retourna en s’appuyant contre le mur, le dos cambré, releva sa jupe et dit, « Maintenant, tu m’encules ! » Julien ne se fit pas prier, arracha sa culotte d’un geste brusque et lui écarta les fesses, se pencha pour cracher sur la rondelle, et lui glissa deux doigts dans le trou encore serré. C’était chaud et doux comme dans du velours. La salope  se trémoussait d’aise tandis qu’il la besognait de l’index et du majeur. Enfin, n’y tenant plus, il l’embrocha d’un coup, tandis que la belle poussa un « han ! » des plus convaincants. Une main sur la hanche, l’autre serrant un sein généreux, il besogna tant et si bien qu’il senti à nouveau la sève monter.

-     -Merde, je viens !
 -    Rhaa, moi aussi, encore une minute !

La tante et le copain, tous les deux en sueur, rouges comme des tomates haletaient maintenant sans retenue.

-        - Remplis moi le cul ! Remplis moi le cul !

-        - Haa, ça y est, putain, je jouis !!!





Il  serra le sein plus fort, griffa la hanche tandis qu’elle hurla de plaisir quand un jet brûlant lui inonda le fondement. Julien se retira enfin et recula exténué. La tante Chloé resta dans la même position, la rondelle bien ouverte tandis que le sperme coulait le long de sa jambe droite. Julien semblait voir le sphincter palpiter, animé de soubresauts cependant que la dame se finissait à la main.

-         -   Rhaaa putain, c’était bon ! Moi c’est Chloé, et toi ?

-            Moi c’est julien, l’ami de Lucie.

-            Et bien, bienvenu chez nous, mon petit Julien !

-            Merci madame !

-            Chloé, appelle-moi Chloé, ou comme tu veux, mais pas madame, d’accord ?

-            Ok.

-            Bien. Où son Lucie et les autres ?
-Dans la chambre de Lucie, en fait ça les a tellement excitées de me sucer tout à l’heure qu’elles sont montées se bouffer les chattes là haut.

-       - Super, je vais donc faire leur connaissance de ce pas.

-      -  Vous voulez que je vous accompagne ?

-       - Pas la peine, maintenant j’ai envie d’une bonne baise entre filles. Mais si tu veux tu peux aller rencontrer mon mari, je pense qu’il trouverait ton cul à son goût.

-            Je n’ai jamais essayé avec un mec.

-            Tu n’as rien contre j’espère ?

-            Je n’ai encore pas d’avis sur la question en fait !

-            Alors il va falloir essayer.

Julien la regarda s’éloigner, pensif. Il remarqua qu’elle n’avait pas prit soin d’essuyer le sperme qui coulait maintenant sur sa cheville et porta à son nez la petite culotte qu’il n’avait pas jeté.

Il s’habilla enfin pour tester la culotte grand siècle et sorti de la pièce pour aller jeter un œil au reste de la maison. Il la trouva immense, meublée avec un certain goût pour l’alternance de l’ancien et du contemporain, des pièces richement meublées avec un thème différent pour chacune. Il se dit que la fête serait énorme, et comprenait l’intérêt des soirées libertines déguisées. Il aurait aimé vivre cette période de l’histoire où le cul avait sa place sans avoir à se cacher, où les gentilshommes et les biens nés pouvaient trousser par distraction comme on allait en « boite » de nos jours. Il s’en dégageait un parfum de paradis, même si l’époque fantasmée avait aussi été la pire en terme d’hygiène corporelle. Par ses lectures, Julien savait qu’en ses temps là on puait facilement de la gueule et du con, que l’on déféquait en société et que les femmes se soulageaient sans même prendre la peine de se baisser ou de s’isoler. Certains payaient même pour voir le roi chier. Julien était très à cheval sur l’hygiène, il se dit que ça l’aurait gêné.

En attendant, comme un point final à leur rencontre de la journée, elle lui avait conseillé d’aller se faire enculer, cette femme était charmante.



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Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : Histoire érotique
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