Présentation

Bon, j'ai enfin commencé à parler de moi, et de ma vie. Il y a des passages romancés, des inexactitudes, mais c'est voulu, je ne veux pas qu'on me reconnaisse, qu'on sache qui je suis.  Je ne veux pas qu'on en parle sur mon lieu de travail, même si bien peu de mes collègues se font encore des idées sur ma sexualité.
Donc, les lieux, les prénoms sont différents, camouflés, transformés.
Certains disent de moi que je suis une vrai salope, d'autres que je suis une fille extra. Franchement, ça ne m'importe pas beaucoup, je revendique juste ma condition de libertine, ma liberté complète, sexuelle et sociale. Je vis à contre courant, je ne suis pas dans la norme, mais cette manière de vivre m'a enseignée la tolérance.
Laissez moi vos impressions, vos remarques, vos fantasmes. Si vous écrivez aussi, laissez moi le lien vers votre blog, je le parcourerai avec plaisir.

Enjoy - Lucie


PS : J'oubliai ! les vignettes sont clickables...

Vendredi 24 avril 5 24 /04 /Avr 08:21

En réalité, Lucie n’a jamais eue besoin de faire fuir le type. Très vite attiré par une autre queue sans doute plus frétillante, il est parti de lui-même un beau matin, laissant Julien en pleurs – pour de faux – seul sans aucun souvenir.

Julien n’en avait rien à foutre, mieux, il avait même exhibé une relation hétéro devant son nez quelques jours plus tard. Dommage pour la relation de travail, dommage pour l’ambiance plombée.




Julien n’en avait rien à foutre que ce soit lui le premier qui ai pensé le virer en demandant l’aide de Lucie, il s’était senti morveux d’être pris à son propre jeux et réalisa à quel point une relation homo pouvait être bâtie sur du sable. Lucie l’avait pourtant déjà prévenue sur ce point.

Pendant ce temps là Lucie n’était pas restée inactive. Sur « Missive » elle avait levé un type qui cherchait un coup d’un soir. Son message en ligne disait « type normal sur Paris cherche femme normale pour nuit chaude sans lendemain. Désespérée et morte de faim s’abstenir».

Sa fiche laissait voir une photo plutôt avantageuse, blond, coupé sage, un sourire encourageant du type franc et honnête.

Elle avait répondu d’un simple « ok, si on s’en tient à l’énoncé du message ».

Ils s’étaient donné rendez vous le lendemain dans un bar de la place de la Bastille, en début de soirée.

Lucie avait décidé de la jouer soft. Une robe d’été, un soutien gorge « Sweet poker » de chez Chantal Thomass et une paire d’escarpins de chez Paul & Joe, un modèle un peu rétro, mais qui allait parfaitement avec sa frange.

Le type était bien sur en avance quand Lucie arriva. Ils avaient convenus de se retrouver à vingt et une heures, elle se pointa avec une demi-heure de retard tandis que le type confessait attendre depuis une heure. Les hommes sont toujours impatients pour tout, particulièrement quand il y a une partie de jambe en l’air à la clé. Il semblait très à l’aise, dans sa tenue de parfait « métro sexuel ». Il avait l’air baba mais pas trop, geek mais pas trop, instruit mais c’était à voir. Il portait sur lui la décontraction des bobos et l’assurance de celui qui se sent bien dans sa peau. Quand Lucie entra dans le bar, il se leva, ce qui était un signe de bonne éducation. C’était important dans une relation, même purement sexuelle d’avoir affaire à un type ou une fille avec un minimum de manières.

Lucie nota également à ses yeux qu’il était plus qu’agréablement surpris par celle qui lui faisait face.

-                bonsoir, c’est moi Pierre.

-                Lucie.

-                Bien, je peux vous offrir un verre ?

-                Bloody Mary, merci.

Pierre appela une serveuse et passa la commande. Il prit pour lui un « Looping Papaye », mais sans curaçao.

-                bon, alors, dites m’en plus sur vos motivations, Pierre.

-                Hé bien …

-                Ne soyez pas timide, je ne le suis pas.

-                J’avais envie de heu...

-                De tirer un coup ?

-                Vous êtes vachement directe !

-                Oui, je vous l’ai dit, je ne suis pas timide. Alors vous vouliez tire un coup n’est ce pas ?

-                C’est à peut près ça, oui.

-                Ne soyez pas aussi décevant que la moyenne mon cher Pierre, lancez-vous donc !

-                Bon, alors, le but de mon annonce était de trouver une fille avec qui passer une soirée au pieu, c’est vrai.

-                Vous avez dit « nuit chaude » seriez vous prétentieux ?

-                Pas du tout, c’est jusque que..

-                Vous pensez être un type qui assure ?

-                C’est pas une question d’assurer ou pas, c’est que j’ai juste un petit défaut, j’ai des érections qui durent jusqu’à trois heures !

-                En vrai ?

-                Oui.

-                Putain, alors !

-                Ça fait mal ?

-                C’est un peu douloureux à la fin, c’est vrai, mais pas trop quand même.

-                Vous êtes priapique ?

-                Non, c’est pas ça, c’est de l’hypersexualité.

-                C’est quoi la différence ?

-                Et bien, le priapisme est une conséquence d’un trauma, une maladie dangereuse. Tandis que moi, c’est plutôt du satyriasisme, en gros, je ne pense qu’au sexe, je suis accro au porno, et dans la vie de tous les jours c’est un peu génant.

-                Vous êtes marié ?

-                Oui.

-                La vache ça ne doit pas être facile pour elle !

-                Carrément l’enfer ! mais comme elle trouve que je suis un type bien, elle m’autorise à satisfaire mes besoins comme ça, par des rencontres sans lendemains.

-                Et votre engin, il est comment ?

-                Comment ça ?

-                La taille.

-                Plus qu’honorable il paraît !

-                Allons-y tout de suite alors !

-                Vous voulez qu’on aille où ?

-                Vous avez une bonne tête, on va dire chez moi, ok ?

C’est ainsi que Lucie appela un taxi et qu’ils se retrouvèrent chez elle vingt minutes plus tard. Lucie pendant le trajet, avait pu constater qu’en effet, Pierre bandait déjà sévèrement au travers de son pantalon.

-                une question : vous n’éjaculez qu’au bout de trois heures ?

-                non, plusieurs fois ! mais la qualité décline au bout d’un moment.

Dans la cour, sous la faible lumière extérieure, Pierre avait déjà déballé l’engin que tenait Lucie dans la main, tandis qu’une main fouraillait déjà sous la jupe déjà tachée.

 

Dès l’entrée, ils se déshabillèrent rapidement et s’étalèrent sur le tapis du salon.

Pierre la prit en levrette, les mains sur les anches, tandis que Lucie déjà largement lubrifiée à l’idée de ce qui l’attendait, n’eu aucun mal lorsqu’il la pénétra d’un coup.

Lucie se rendit bien compte que pour lui rien n’importait d’autre que de soulager son envie quasiment bestiale, sans le moindre gramme de sentiment ni  amoureux, ni érotique.

En fait, ça lui fit du bien de se faire prendre comme une bête tandis que les couilles de Pierre frappaient en rythme son mont de vénus et excitaient son clitoris. Des couilles lourdes, chaudes qu’elle imaginait pleines.

Rythme, c’était le mot. Comme le son de la grosse caisse dans les galères, une précision métronomique implacable.

Il arriva d’un coup, se retira pour éjaculer sur son dos, en poussant un vrai cri c’animal. Lucie senti le liquide séminal chaud entre ses épaules, jusqu’au creux des reins.

Pierre était en nage, Lucie aussi.

Elle monta faire couler un bain et ils s’y glissèrent tous les deux avant de recommencer dans l’eau chaude, dans les draps du lit, contre le bar de la cuisine, dans le canapé et encore sur le tapis du salon.

 



Lucie comprenait maintenant d’où lui venaient ses impressionnants pectoraux et ses abdominaux. La baise comme sport, le cul à la place des salles de gym. Mais Pierre baisait mal. Il ne baisait que pour lui, même quand il léchait le minou de Lucie il ne prenait pas soin de lui faire ce dont elle avait envie. Il ne léchait pas, il « bouffait », il s’enivrait, se plongeait tout entier dans le sexe. Juste parce que ça lui plaisait.

Lucie eu mal, elle avait le sexe en feu, irrité, toute trace de lubrifiant avait disparu, échauffé. Ce n’est pas une fille qu’il fallait à ce type, mais deux, trois. Il était taillé pour jouer dans les pornos.


Ses dernières éjaculations furent misérables, à peine quelques gouttes. Lucie laissa tomber au bout de deux heures d’assauts ininterrompus. « Pouce, j’arrête ! » et se promis que c’était le dernier sauvage qu’elle se torcherait.

Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : écriture libertine
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Jeudi 23 avril 4 23 /04 /Avr 09:21

A midi, Lucie et Julien sont sortis déjeuner à la terrasse d’un petit bistro, non loin de son appartement. Le coin est un peu bobo, genre vieux jeune de gauche intello, un peu fauché mais pas trop, créatif et engagé, mais pas trop non plus. On est loin du 10ème et du canal st martin, mais la butte, ici, rappelle beaucoup une autre plus célèbre, en plus petit.  « Tous des connards » dit Lucie.

-                 Qui donc ?

-                 Regarde les, on dirait qu’ils reviennent tous de Katmandou avec leurs frusques écolo-lamentable

-                 tu veux dire « équitable » ?

-                 Pareil !

-                 T’es mal lunée ?

-                 Non, juste mal réveillée.

-                 Elle était comment ta nuit, alors ?

-                 Bof, une fille que j’ai ramassée sur le site de « missive ».

-                 Bonne ?

-                 Putain, c’est vraiment une expression de mec, ça !

-                 Bon, alors raconte elle était comment ?

-                 Une petite blonde à cheveux court, pas vraiment genre intello, et pas vraiment genre salope non plus. Juste genre jolie sans être méga top, tu style quand elle sourit tu fond comme un shamallow. Tu vois ce que je veux dire ?

-                 Tu veux dire genre innocente ?

-                 Ouais, c’est ça. Le genre innocente un peu fauchée, mais digne. Chez elle c’était pas le luxe, mais c’était « girly ».

-                 Tout l’inverse de toi, quoi !

-                 Tu sais, y’a des jours, t’es con !

-                 Bon, ça va !

Lucie et Julien sont affalés sur les chaises en fer de la terrasse du troquet, une paire de lunettes de soleil qui leurs mange la tête sur le nez.  Il y a du monde avec ce soleil qui semble revenir de loin, les filles ont sorti leurs jupes légères et leurs repettos. Les jambes sont nues, les tissus flottent au vent léger.

De l’autre coté de la terrasse, il y a deux filles genre inutiles mais blindées qui parlent fort de leurs mecs,  de leurs virées sur les champs, de leurs nouveaux sacs D&G et de « l’autre bécasse de Jennifaire qui craint sa race !!! »

Julien ne peut s’empêcher de les trouver vulgaires et connes.

-                 Tu mattes quoi là ?

-                 Les deux nanas, là bas.

-                 Les deux putes ?

-                 Comment tu parles !

-                 Ce sont des putes, pas des prostituées, non, juste des putes, des puputes ! ces filles là ont un QI de moule, une moule béante pourvu que tu ais du blé, et elles vendraient leurs mères pour un crédit chez Vuithon !

-                 Ouais, c’est le genre !

-                 Et puis tu veux que je te dise ? si t’es blindé et cultivé, que tu préfères les emmener dans une expo plutôt qu’au Queen, t’en baisera pas une. Avec elles il faut parler aussi fort, avoir le bronzage « bronzomatic »  et une bagnole qui en « jette sa race » !

-                 Avec ça on peut leur péter le cul ?

-                 Avec ça, Julien, tu peux tout péter, elles te diraient merci ! des puputes, quoi !

-                 Ça doit être marrant de se faire une nana comme ça !

-                 Ne crois pas ça, elles baisent très mal. Toutes persuadées que baiser ça doit forcément être comme dans les pornos. Elles sont prêtes pour les gang-bang dans les caves, les bukkakes avec tout le quartier et sont persuadées que c’est ça l’amour.

-                 C’est dingue, on dirait que t’as testé !

-                 J’en ai levé une, une fois par internet.  Elle voulait tester avec une fille avant de crâner devant ses potes.  C’était d’une nullité extrême.  Du genre « je te fous la main dans le minou avant même de lubrifier » ou « je te lèche sans même s’occuper du clito » un gâchis comme t’as pas idée. 

-                 Tu l’as jetée alors ?

-                 Non, je lui ai donnée ce qu’elle voulait, ça m’a amusé cinq minutes et je l’ai viré.

-                 Ça laisse rêveur quand même tout ce qu’on peut faire avec de telles connes.

-                 Bah, tu pourrais leur foutre une batte de Base-Ball dans le cul, elles trouveraient ça « cool » alors qu’en réalité elles auraient vachement mal. 

-                 J’ai déjà vu des pornos où les filles avaient l’air de trouver ça super bonnard !

-                 Ouais mais non, dans la vraie vie, ce genre de truc ça ne fait mouiller personne. Tu aimerais que je t’enfonce une batte dans le cul ?

-                 T’es conne ?

-                 Bah voilà, t’as bien répondu à ma question. Regarde plutôt la serveuse comme elle est mignonne avec son joli sourire et son tablier blanc. C’est le genre de nana à attendre le prince charmant. Pas le genre à se branler dans son bain.

-                 Tout le monde ne se branle pas dans son bain.

-                 Ha bien, moi, si ! non mais de toute façon c’est pas ce que je veux dire. Celle là elle a encore plein de truc à apprendre sur le sexe en général et l’amour en particulier. Je me demande même si elle a déjà eu un orgasme, un vrai !

La fille s’approche et leur demande avec un joli sourire :

-                 Bonjour, vous avez choisi ?

-                 Deux salades piémontaises avec une bouteille de badwa, ça fera l’affaire.

La fille s’éloigne en ignorant que Julien et Lucie lui matent méchamment les fesses. Lucie  est rêveuse et se dit qu’elle la rejoindrait bien dans la cuisine ou dans les chiottes. Julien est plus romantique, il se dit qu’il se ferait bien sucer. Ils restent ainsi les yeux dans le vague, silencieux, alors que la fille a disparue dans l’ombre de la salle.  Lucie est la première à atterrir.

-                 Bon, tu veux qu’on monte un plan pour ton mec ?

-                 Ouais, ça serait bien.

-                 Parce que j’ai une idée.

-                 C’est quoi ?

-                 On est marié, tu m’as largué, et je reviens squatter chez toi parce que tu m’as foutue en cloque. Et puis toi, tu bandes à l’idée d’avoir un gosse alors tu lui dis que c’est pas possible, c’est auprès de moi qu’est ta place, que t’es désolé, mais que bon, juste un coup de temps en temps, tu vois ?

-                 C’est pas un peu lourd ?

-                 On ne vire pas sa femme de son appart coco, surtout si elle est en cloque et qu’elle te réclame pour l’emmener chez le médecin, le gynéco, la pharmacie, et qu’elle dégueule toutes les cinq minutes dans les chiottes ou la salle de bain.

-                 Tu pourrais gerber sur commande ?

-                 Je peux même simuler l’orgasme, alors…

-                 Si ça sent la gerbe dans l’appart il va vite se tirer, c’est sur, et puis c’est pas le genre à aimer le conflit, surtout avec une fille.

-                 C’est ok alors ?

-                 Ouais !


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Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : les jeunes exhibes
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Mercredi 22 avril 3 22 /04 /Avr 08:32

Il était presque dix heures quand Lucie entendit frapper à la porte, en bas.  Il faisait un temps formidable, et les premiers rayons du soleil frappaient chaudement sa peau nue et découverte.

Lucie ne s’était pas levée ce matin, c’était un dimanche. Elle était sortie la veille, dans un bar près de la place de la république. Elle y avait eu un rendez vous avec une fille. Elle se rappelait confusément qu’elle s’appelait Christine, qu’elle était institutrice et lesbienne honteuse. Lucie, qui était détendue, l’avait laissé la baiser.

Christine était nouvelle à Paris. Elle débarquait d’une province où elle n’avait jamais pu assumer son homosexualité, trop seule. Elle avait confiée à Lucie en rougissant que son truc à elle c’était de lécher des chattes comme on boit au goulot, jusqu’à l’ivresse. Glisser sa langue entre les lèvres, jouer avec le bouton à en faire hurler sa partenaire. Lucie avait trouvé ça parfait, et s’était laissé accompagner chez Christine dans un petit appartement de la rue de la lune, près du métro « bonne nouvelle ». Que des jolis noms pour un quartier à la con ! La rue en elle-même n’était pas sordide, mais trop grise, trop étroite. En se penchant par la fenêtre de la chambre de Christine, Lucie avait l’impression qu’elle pourrait sauter dans l’appartement du voisin d’en face.

C’était un petit  deux pièces, avec le strict nécessaire. Un canapé lit défait, un bureau et un ordinateur portable au milieu d’un tas invraisemblable de bouqins en tout genre, une kitchenette peinte en rouge et une micro salle de bain. Une institutrice, ce n’est pas riche, et les loyers parisiens sont hors de prix.

Cependant, elles avaient passée une partie de la nuit à se frotter, à se câliner, et a s’explorer mutuellement.

Christine ne l’avait pas trompée, elle avait passé l’essentiel de son temps collé contre sa vulve. Elle en avait tellement salivée, Lucie avait tellement mouillée, qu’elle avait eu la sensation de baigner dans une mare de bave et de cyprine. C’était bien simple, Lucie était mouillée jusqu’e dans le bas du dos.

Parfois Christine relevait la tête avec un air de junkie et demandait « alors, ça va ? Tu aimes ? » Il n’y avait rien d’autre à répondre que « vas-y, bouffe » et à lui reculer la bouche sur les lèvres ouvertes d’un mouvement de la main sur sa tête.

Certes, Lucie avait jouie plusieurs fois, ça avait été vraiment bon, surtout qu’elle n’avait pas vraiment eu l’envie de diriger. Non, Lucie avait juste eu envie de se laisser faire, complètement passive.

Ce n’est que vers deux heures du matin, la chatte en feu et ruisselante, que Lucie se leva pour se doucher avec l’intention de s’en aller.

-                tu n’as pas aimé ?

-                Si très ! mais i l faut que je rentre !

-                Tu ne m’as presque pas touchée ;

-                Ecoute, Christine, tu es gentille, mais ce soir je n’avais pas du tout envie de diriger, tu as été parfaite et j’ai voulu que tu profites de mon minou comme tu aimes.

-                C’est vrai ?

-                Oui, t’inquiète ! tu sais, il y a des jours où je t’aurais empalée comme une sauvage avec un dildo énorme, où je t’aurais fistée ou enculée. Il y a des jours où je t’aurais demandé de me baiser le cul, mais là, j’avais simplement besoin de me détendre. Tu m’avais dit que tu adorais ça.

-                Hmm, merci, mais c’est con, j’aurais appréciée que tu joue avec moi aussi, peut être pas avec un dildo ou un god ceinture,  juste la langue, les doigts…

-                Désolée poupée, pas ce soir.

-                On se revoit quand ?

-                Normalement, avec moi, c’est jamais. Je ne m’attache pas, tu comprends ?

Lucie était donc partie après avoir appelé un taxi, laissant Christine toute triste enroulée dans ses pauvres draps tout mouillés.

Le taxi avait traversé la ville pour la ramener chez elle où elle s’était écroulée comme une masse. Il était donc maintenant dix heures, et un inconnu insistait lourdement sur le battant de la porte.

Lucie s’enroula d’un drap et descendit voir qui pouvait bien l’emmerder de si bonne heure. Les cheveux en bataille et les yeux à peine ouverts, encore collés.

C’était Julien, lunettes de soleil, polo noir et rasé de frais, un sac de croissants à la main.

-                Ho Lulu, t’es là ? ouvre !

-                Putain, c’est toi Ju ? tu as vu l’heure qu’il est ?

-                On est dimanche, il fait un temps superbe, il est dix heures, et à voir ta tête t’as du baiser toute la nuit. Ton partenaire est encore là ? Si je t’emmerde, tu me le dis, hein ?

-                Oui, tu m’emmerde, et non je suis seule, ok ?

-                Bon, je me tire ?

-                Non, c’est bon rentre.

Il n’y avait jamais eu de pudeur entre eux, Lucie jeta le drap froissé dans un coin près de l’entrée et se mit en tête de faire un café fort.

-                Laisse, je m’en occupe, dit Julien.

-                Merci, je vais prendre une douche.

Lucie remonta tandis que Julien lui matait les fesses.

-                Il te plait toujours mon cul ? dit Lucie dans l’escalier.

-                Comment sais-tu que je regardais ?

-                Parce que tu mattes  tous les cul que tu peux, même ceux que tu connais par cœur.

-                Bah ! tu as toujours un cul de compétition.

-                Merci, c’est gentil ! Mais pas ce matin, d’accord ?

-                Oh, je n’étais pas venu pour ça !

La douche ne prit que quelques minutes tandis que Julien s’occupait du petit déjeuner.  Lucie s’épila rapidement sous l’eau chaude et sortit enfiler une tenue décontractée, un jean et une chemise, pas de culottes.

-                Alors raconte ta nuit !

-                Y’a rien à dire, juste une baise avec une fille banale, dans un appart pourri. Je ne l’ai même pas touchée !

-                Oh ?

-                J’te jure !

-                Tu as juste écarté les cuisses alors ?

-                Bah oui.

-                Tu me surprends !

-                Dis, tu es juste venu t’enquérir de mes baises ou tu es venu pour quelque chose de plus intéressant ?

-                Je suis juste passé parce que ça faisait un bail, c’est tout…

-                Menteur !

Julien était un peu gêné aux entournures, pas à l’aise dans ses fringues, Lucie l’avait toujours bien calculé.

-                Bon, voilà, j’ai besoin de ton avis. Un type m’a proposé de vivre avec lui, je crois qu’il me kiff à mort. Il veut qu’on se mette ensemble.

-                Il sait que t’es bi ?

-                Non, je ne lui ai jamais dit.

-                Arrête moi, là, tu ne serais pas en train de me dire que tu vires complètement homo, non ?

-                Je ne sais pas, parfois je me demande.

-                Je me souviens parfaitement que ça te plaisait quand tu te faisais sucer par trois colocataires ! on n’avait jamais besoin de te forcer !

-                Et j’aimerais toujours, mais ces dernier temps j’ai passé beaucoup plus de nuits avec des mecs qu’avec des filles. Et tu veux savoir ? j’avais presque oublié comment c’est foutu une fille.

-                Bon, soit t’es venu pour me bouffer la chatte pour voir si ça te fait encore bander, soit tu es venu parce qu’en réalité ce type t’emmerde et que tu ne sais pas comment lui dire non. Pire, même, si ça se trouve ce mec bosse dans la même boite que toi…Ou pire encore, c’est ton bosse.

-               

-                NOOOOOOOOOOOOON ! je n’y crois pas, c’est ton boss ?

-                Non, c’est pas mon boss, on travaille ensemble sur une même opération, je l’ai sur le dos 24/24. Au début j’avais bien vu qu’il avait un coté petit pédé sympa, alors j’en ai profité, mais il est devenu vite accro, maintenant ce con veut qu’on ai une vie de couple normal. C’est la première foi qu’on me le propose, ça me fait tout drôle.

-                En gros tu veux que je m’occupe du problème à ta place ?

-                C’est vrai tu ferais ça pour moi ?

-                Bon dieu, t’as vu où que je disais oui, hein ?

-                Ha merde !

-                Bon ok, je m’occupe de lui, mais c’est juste parce que c’est toi, d’accord ?

-                Tu ne veux pas me sucer un coup pour voir si je bande encore pour une fille ?

-                Vas te faire enculer !  mais si tu veux tu peux me reluquer les nichons, tu veux que j’ouvre ma chemise ?

-                Bah, non, c’est bon, ça va aller.

-                Tu peux aussi essayer de te branler pendant que je bois mon café !

-                Arrête Lucie, t’es chiante.


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Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : les jeunes exhibes
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Mardi 21 avril 2 21 /04 /Avr 09:16

Aujourd’hui, Lucie ne voit plus Marie, et ne rencontre Olivia qu’occasionnellement. La première suit une carrière intéressante de chargée de communication pour une boite française implantée aux états unis ; la seconde est bêtement mariée à un imbécile qui l’exhibe comme une poule de luxe et la frappe quand il boit. Il est riche, très riche, mais c’est un sombre con.



Julien passe de temps en temps à Paris, mais ne reste jamais vraiment longtemps, un jour ou deux, tout au plus, même s’il en profite toujours pour aller faire un saut chez sa vieille amie. Julien passe sa vie entre la City de Londres et le quartier d’affaires de la Défense. Il a un bon job, un bel appart  dans le sixième arrondissement et un deux pièces sur Craven Terrace, à deux pas d’Hyde Park.


Pas de femme, pas de gosses, juste des filles, quelques mecs, il a su écouter les conseils de Chloé quelques années auparavant.

Henry et Chloé sont toujours dans leur propriété près du Mans et organisent toujours de superbes fêtes autour de leur nouvelle piscine. Henry s’appelle désormais Jade depuis qu’il a achevé son cycle de transformation. Lucie avait toujours trouvée son oncle un peu « spécial » et n’avait jamais imaginé ce qu’il avait derrière la tête. Il avait tout d’abord suivi un traitement hormonal, puis avait été se faire opérer à Bangkok, par un grand spécialiste. Henry – jade -  a maintenant une paire de sein tout à fait honorable et un vagin tout neuf. Sa voix s’est transformée, sa peau aussi. Il a une peau qui ne ressemble plus à celle d’un mâle, il a une vraie peau douce et une croupe de pouliche. La pénétration vaginale lui était encore douloureuse, ça ne l’empêchait pas de savourer une bonne sodomie.

Jade et Chloé passaient parfois au hasard de leurs aventures chez leurs amis de la capitale. Lucie avait trouvé étrange au début, puis s’y était faite et avait complètement abandonnée l’idée de l’appeler « mon oncle ». Pour autant, elle ne l’appelait pas « ma tante », il n’y en avait qu’une qu’elle n’appelait d’ailleurs que par son prénom. C’était donc maintenant simplement « jade ».


Lucie s’était installée à Paris à l’age de vingt-deux ans. La ville n’était déjà plus tout à fait inconnue pour elle. Une partie de son héritage lui avait servit à faire l’acquisition d’un ancien commerce qu’elle avait fait refaire avec goût. Il y avait une large baie vitrée en verre cathédrale qui remplaçait la vieille vitrine, une entrée qui donnait sur une grande pièce unique qui servait de salon et de cuisine, une pièce de quatre-vingt mètres carrés obtenue en cassant quelques cloisons.

Dans un coin du salon, un escalier de fer forgé donnait sur l’étage en mezzanine composé d’une grande chambre lumineuse qui abritait la salle de bain avec jacuzzi, des toilettes et un grand bureau.






Derrière l’escalier, une trappe escamotable permettait de descendre dans la cave voûtée qui servait autrefois de stockage et qui abritait aujourd’hui un donjon SM spécialement aménagé. La cave ne servait pas très souvent, seulement à quelques habitués de passage, quelques groupes d’amateurs qui allaient d’un donjon à un autre comme un cercle très fermé d’amateurs de la littérature de Bösersach. Il se trouvait parfois un membre pour proposer une soirée chez l’un ou chez l’autre, annonçant fièrement avoir trouvé une vierge presque effarouchée pour une séance de torture simulée. Lucie avait trouvé l’idée amusante au début, et puis avait trouvé que finalement tout cela obéissait à trop de codes et manquait de spontanéité.
Elle avait trouvé amusant un jour de fesser violemment une fille un peu bête. Mais on lui avait fait comprendre que si elle ne voulait pas de problèmes avec les mœurs, il était préférable qu’elle se calme et y aille mollo. La fille avait eu les fesses striées au sang et était rentrée chez elle en pleurant à chaudes larmes. Claudie, enfin « maîtresse Claudie » lui avait dit « Putain, t’es chiante ! Qu’est ce qui t’as pris de la frapper comme ça ? T’es dingue ou quoi ?

-  Quoi ? Ce n’est pas pour ça qu’elle est venue peut-être ?

-                Tu n’étais pas obligée de frapper comme une dingue ! la pauvre ne va pas pouvoir s’asseoir pendant une semaine.

-                En plus, ajouta Robert, j’ai même pas joui, merde. Qui va me finir maintenant.

-                Branle toi !

-                Moi je dis, après ce que tu as fait on devrait tous te foutre une bonne raclée !

-                Vous voulez que je prenne sa place ? pour moi ce n’est pas un problème, mais vous, vous oserez me frapper comme je l’ai frappée ? Vous n’êtes que des simulateurs !

-                OK ! on va t’attacher au chevalet et on va te saigner les fesses, mais ne vient pas te plaindre après !

Ils l’attachèrent donc et la fouettèrent à tour de rôle. Robert lâcha sa purée dans ses cheveux, tandis que Claudie la fouettais avec une tapette de cuir et que Charles lui pinçait les tétons. Ils y avaient mit de l’ardeur et de la force, Lucie avait eu mal mais avait serré les dents. C’est Claudie qui la fessait, pendant que robert se branlait, pathétique.

Ils n’avaient pas eue l’occasion d’aller au bout de leurs fantasmes, un manque certain de courage. Lucie s’en était trouvée plus forte, plus sûr d’elle. Ho bien sûr elle avait eu mal aux fesses, deux ou trois jours, mais rien d’insurmontable quand on assume ce genre de jeu. Même, elle y avait trouvé un certain plaisir animal. Elle avait lâchée « maîtresse Claudie », Charles et Robert et avait trouvée une autre bande d’affamés comme elle.

 

Mais Lucie était une solitaire. Jamais elle n’avait envisagée de vivre avec quelqu’un ou quelqu’une. Elle était maintenant une sorte de prédatrice, en perpétuelle quête de proie. Son truc c’était les rencontres sur internet, les baises éclaires, les rencontres fortuites.




Femmes, hommes, qu’importe, Lucie voulait qu’on la fasse jouir. Depuis son enfance elle avait développé un goût démesuré  pour cette sensation, ce frisson électrique qui la parcourait quand elle venait.  Lucie se disait que peut-être elle s’engagerait si elle trouvait la personne qui la ferait vraiment hurler à tous les coups, mais jusqu’à présent elle n’avait trouvé que des coups moyens, elle en était presque désolée pour eux.



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Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : les jeunes exhibes
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Lundi 20 avril 1 20 /04 /Avr 08:48

La soirée d’anniversaire et de nouvel an avait été parfaite. Lucie était enfin majeur.

Si l’oncle et la tante à peine plus âgés l’avaient initiée à la culture, aux plaisirs et à l’hédonisme en général, son âge, au moment de son initiation, l’avait privée des joies des grandes soirées et des rencontres libres dans les clubs qu’ils fréquentaient.


La soirée était destinée à combler ce manque.

Les invités étaient arrivés relativement tôt, vers dix-neuf heures. Il y avait du champagne, des alcools un peu plus forts, et des montagnes de nourriture. Tous les convives sans exception étaient perruqués, poudrés, et habillés comme des princes de condé ou des Marie-Antoinette.  Marie, Olivia et Julien avaient les yeux grands ouverts comme ébahis devant une reconstitution historique parfaite. Il y avait une centaine de convives, une faible majorité de femmes. Le début de soirée, donc, restait relativement soft. Il y avait bien quelques filles pour pomper un mec ou quelques mecs pour sucer une fille, mais ça dansait beaucoup, ça papotait dans les coins, ça riait aux éclats. Quelques types plus malins avaient apportés un peu de coke et traçaient quelques lignes.

Lucie était captivée par la vue d’une Pompadour accroupie, les jambes bien écartées, la vulve à l’air, qui avalait un sexe énorme, tout doucement, langoureusement, tout en se masturbant d’une main gantée. Le type ne semblait même pas faire attention à elle, occupé à parler de tout et de rien, avec un quadra débonnaire. La fille semblait jolie, hyper fardée, hyper poudrée. Elle avait une mouche sur la joue, une fantaisie à la mode en ce temps là, tracée au crayon. Lucie eu presque envie d’aller lui fourrer un doigt dans le cul pour qu’elle accélère le mouvement, mais resta à la regarder de manière hypnotique.

Julien s’approcha d’elle.

-           Putain, je me ferais bien sucer aussi, là tout de suite !

-           Ce n’est pas les bouches qui manquent mon pauvre !

-           Toi, tu ne me sucerais pas ? là dehors ?

-           N’importe quoi ! c’est une soirée libertine Julien, le principe c’est que si on a envie de baiser on le fait sans honte, à la vue de tout le monde.

-           Si tu commences à avoir de la pudeur, autant sortir et changer de fête !

-           Arrête, c’est juste que je ne me sois encore jamais fait sucer par quelqu’un que je ne connaissais pas.

-           Tu veux que je demande à la première fille qui passe ?

-           Tien, oui, ça pourrait être drôle !

Lucie tourna la tête de chaque coté, et aperçu une fille qui venait dans leur direction. La fille était superbe, genre bourgeoise, blonde, peu de poitrine, mais un charme d’enfer.

-           Elle te ferait bander celle-là ?

-           Ha ouais, carrément !

Lucie se tourna vers elle et l’interpella.

-           Hé, salut, mon copain aimerait se faire sucer par vous mais il est un peu timide.

-           Bonsoir, moi c’est Isabelle, je viens de sucer deux types dans la bibliothèque, j’ai un peu mal à la mâchoire, mais attendez…

La femme se tourna et appela une amie à elle.

-           Joy, tu pourrais sucer le jeune homme ?

-           Pas de problème !

Joy semblait un peu moins jolie, mais toute aussi prête à rendre service. Sans attendre, elle se mit à genoux et pompa Julien après l’avoir déboutonné avec expérience.

Lucie poursuivit donc la conversation avec Julien, pendant que celui-ci se pâmait  dans la bouche de la blonde.

A minuit, après que tout le monde se soit déshabillé pendant le décompte, l’oncle Henry prit le micro des mains du DJ et appela l’attention du public.

-           S’il vous plait ! S’il vous plait, un petit instant s’il vous plait. Ce soir est une date importante à plusieurs points de vue. En effet nous venons de fêter la nouvelle année, mais comme certains le savent aussi, c’est l’anniversaire de ma nièce Lucie !

Il y eu des cris de joie, des applaudissements et des encouragement cependant que Lucie approchait de son oncle un peu confuse. Chloé se tenait à ses coté, toute heureuse, les seins à l’air.

-           Bien, comme ma chère Lucie est aujourd’hui majeure, que nous l’avons élevée selon les préceptes du divin Marquis, je tenais à lui souhaiter son anniversaire de manière originale.

Il y eu des HOOOO !!!! dans l’assistance.

-           Ma chère Lucie, voici ton cadeau !

Sous les applaudissements arrivèrent dix-huit jeunes hommes superbes, baraqués comme des gogo-danseurs, et membrés comme des ânes portant un magnifique fauteuil or et rouge.

Henry accompagna sa nièce rougissante sur le fauteuil et lui dit « Ma chérie, ces dix-huit garçon sont à toi, jusqu’à ce que tu les fassent tous jouir ! »


Lucie, rouge de plaisir joignit ses mains comme pour une prière et mit un instant avant de choisir lequel aurait le premier les honneur de sa bouche.

Finalement elle leur fit signe de se mettre en cercle et elle s’assit sur son fauteuil, bien confortablement en les suçant un par un. Quant elle en eu mal à la mâchoire, elle s’assit plus profondément et posa ses jambes sur les accoudoirs, ils la pénétrèrent à tour de rôle. Enfin, elle se mit à genoux sur le fauteuil, tendit son cul et les invita à l’enculer à tour de rôle. L’aventure dura deux heures.

Deux heures à prendre du plaisir avec dix-huit types gaulés comme des statues grecques, endurants comme des coureurs de marathon. Finalement et de manière relativement homogène, ils finirent tous par éjaculer sur son corps, son visage, dans sa bouche ou sur ses cheveux.

Deux heures pendant lesquelles Lucie ne prêta pas attention à ce qui se passait autour d’elle.



Quand elle émergea enfin, elle s’aperçut que la salle était une véritable mer de chair humaine, une gigantesque partouze où les corps se mélangeaient autour d’elle.  Il y avait une armée de queue, des bataillons de croupes levées, des flots de sperme qui coulaient, des trios femme-femme-homme, des couples homme-homme ou femme-femme. Devant son fauteuil elle reconnu Chloé qui embrochait l’oncle Henry qui embrochait lui-même un autre type dans une version toute personnelle du petit train.

Il y avait des perruques sans têtes, des têtes sans perruques, de la poudre et du maquillage partout.  Non loin, elle discerna Marie qui se branlait avec le goulot d’une bouteille de champagne en léchant un cul inconnu.

 

Ce fut une fête magnifique, une orgie formidable. Lucie se rappelait avec émotion de ses dix-huit ans.


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Par Lucie - Publié dans : Lucie - Communauté : les jeunes exhibes
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